1. Maxime chéri...


    Datte: 09/01/2019, Catégories: fh, ff, fplusag, jeunes, copains, profélève, revede, odeurs, Oral préservati, pénétratio, hdanus, inithf,

    ... qu’il a manqué d’audace ou de confiance en lui. Il essaye prestement de se rattraper : — C’est vrai, je suis seul fautif, mais s’il n’est pas trop tard, accepteras-tu de dîner avec moi, disons demain soir ?— Avec plaisir, Maxime… Pourras-tu passer me chercher chez mon oncle vers 20 heures ? Il approuve de la tête et me fait un grand sourire, nous trinquons à nouveau. La soirée se poursuit en musique, nous dansons à corps perdus, Maxime est joyeux et se montre plus démonstratif qu’à son habitude ; moi, je jubile intérieurement. Le dimanche soir arrive très vite ; je commence à me préparer vers 19 h, Maxime sonne chez mon oncle à 19 h 45 et je suis quasiment prête. Quand je fais irruption dans le salon, Maxime discute avec Tonton. Ils me regardent comme si je descendais le grand escalier du Casino de Paris. Mon oncle est tout sourire, ils ont l’air d’avoir sympathisé : Maxime doit vraiment plaire au tonton, car celui-ci n’est pas du genre à simuler. Maxime me détaille de la tête aux pieds, visiblement enchanté par ce qu’il voit, lui-même est très séduisant en chemise, veste et pantalon. Cela me fait beaucoup d’effet, car je suis habituée à le voir avec des tenues sportives ou très décontractées. J’embrasse Tonton et nous voilà partis. Nous arrivons au restaurant, Maxime a vu grand. Au premier coup d’œil, je constate que nous sommes dans un établissement sélectif. Notre table est située un peu à l’écart, mais remarquablement bien placée, avec une belle vue sur un jardin ...
    ... paysager et joliment éclairé. Peu après que nous ayons été installés à notre table, une jeune serveuse vient nous voir, me regarde en souriant, me dit « Bonsoir Madame », salue également Maxime en l’appelant par son nom de famille, et lui demande si la table lui convient. — Oui, c’est vraiment parfait, merci. Elle revient avec les menus, nous propose un apéritif. — Pas pour moi, dis-je. Maxime n’insiste pas et confirme que nous ne prendrons pas d’apéritif. La serveuse donne quelques renseignements sur les plats, puis se retire pour nous laisser faire notre choix. Plusieurs clients sont déjà installés, mais la salle est silencieuse, l’atmosphère feutrée, cela nous contraint à parler à voix basse, et crée entre nous une plus grande intimité. — La serveuse semble te connaître, viens-tu souvent ici ?— Jamais… bien que… en fait, je suis venu ce midi pour faire la réservation, c’est elle qui s’est occupée de moi, et comme j’étais très exigeant pour la table, j’ai dû lui expliquer que j’invitais une amie qui… comptait beaucoup pour moi. Cela l’a fait sourire. Je comprends mieux, car Maxime comme moi ne doit pas rouler sur l’or. Je lui fais remarquer que les prix ne sont pas indiqués sur ma carte. — Ce n’est pas un problème, tu es mon invitée, j’ai beaucoup de choses à me faire pardonner.— Du genre ?— Toutes les fois où je ne t’ai pas invitée. Je souris, la serveuse revient, prend notre commande : un plat, un dessert, un verre de vin, je n’ai pas l’intention de ruiner Maxime, du moins pas ...
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