1. Le récit angoissexy de Wanderer (1)


    Datte: 09/01/2019, Catégories: Hétéro

    « Hey chéri, et si on creusait une fausse tombe pour Halloween ? » C’est suite à cette brillante idée qu’Edgar J. s’était retrouvé un après-midi à pelleter des heures durant, excavant des kilos de terre humide. Bien entendu, par « on », la dame voulait dire « tu ». Par chance, l’été commençait vraiment à laisser place à l’automne et les températures s’accordaient à la situation. Après avoir obtenu une profondeur qu’il jugeât convenable, Edgar appela celle qui était sa femme depuis bientôt deux ans, afin qu’elle lui donne son avis. Sélène C. (elle avait souhaité garder son nom de naissance), arriva avec un grand verre d’eau fraîche. Satisfaite de la profondeur du trou, elle aida son époux à sortir du trou en tirant son bras valide, l’autre tenant le verre d’eau. Edgar jeta un coup d’œil autour de lui tandis que Sélène rentrait à l’intérieur, et observa les décorations. Les citrouilles étaient en place, les fantômes suspendus, le faux sang était bien répandu. Ne manquait plus que le squelette qui devait sortir de la tombe, et tout serait fin prêt pour la fête. Les préparations avaient été terminées deux jours à l’avance, ils avaient de quoi être fiers. Dimanche arriva lentement. Passant la matinée au lit, Edgar ressenti les courbatures des heures passées à creuser. Faignant de souffrir le martyr, il demanda à sa femme si un massage était possible. « Après tout, c’est toi qui le voulait ce trou » dit-il comme pour se justifier. « Il est normal que tu en assume les conséquences. ...
    ... » « Mais, mon beau époux, j’espérais justement que tu sois fourbu ce matin. J’ai reçu ma commande vendredi, et je mourrai d’envie de l’essayer. Tout ce qu’il me fallait, c’est que tu sois affaibli par l’effort », lui répondit-elle en lui embrassant le front. Jouant le jeu, Edgar laissa sa belle lui menotter les mains aux barreaux du lit. Les bras tendu derrière sa tête, il essaya de bouger mais les menottes jointes aux courbatures lui empêchaient réellement tout mouvement. Redressant la tête, il vit sa femme revenir avec un bâillon et un cache-yeux dans une main, l’autre cachée dans son dos. Sélène chevaucha son mari, posant l’objet caché derrière elle de telle sorte qu’il ne put voir de quoi il s’agissait. D’une main délicate elle plaça le bâillon dans la bouche de son époux, qui se laissait faire docilement, avant de lui poser le cache-yeux. Ne pouvant ni voir, ni parler, ni bouger, Edgar vint à se demander si c’était vraiment une bonne idée. Il se passa quelques minutes sans que rien ne se passe, sinon la couverture qui fût retirée entièrement, et son bas de pyjama avec. Enfin, il sentit un liquide gluant lui couler du bas des bourses, et les doigts de sa douce lui étaler sur son rectum. Edgar déglutit. « Oh, c’est donc ça », pensa-t-il en déglutissant. « Juste un mauvais moment à passer Edgar, aller, sers les dents. Enfin, le bâillon ! » Et la « torture » commença. Un premier doigt vint s’enfoncer, suivi d’un deuxième. Ne pouvant que faire des gémissements plus ou moins ...
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