1. Le récit angoissexy de Wanderer (1)


    Datte: 09/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... certaines collègues n’ayant pas froid aux yeux sauteraient sur l’occasion s’il leur en parlait. La jeune stagiaire-comptable lui semblait être le meilleur choix, puisqu’elle ne resterait pas dans la boite longtemps. Cela éviterait un trop grand nombre de regard coquin au boulot par la suite. Edgar arriva devant chez lui, et fut surpris de voir que le portail était ouvert. Il se gara à sa place, et ferma le portail derrière lui. La porte d’entrée était fermée, elle. Il se dirigea vers l’établi, pour prendre une pelle, mais passant devant le trou pour s’y rendre, il s’arrêta net quand il vit que le trou n’était plus là. La terre avait été remise à sa place. Sa femme avait dû rentré et le boucher, ou le faire pendant la nuit peut-être ? Ce qui aurait expliqué le fait qu’elle était déjà prête, si tôt dans la matinée. En attendant le retour de sa femme, il commença à préparer le repas du soir. Lorsque Sélène arriva chez eux trois heures plus tard, elle vint embrasser son mari, et s’excusa pour ne pas l’avoir attendu au lit pour leur gâterie mutuelle habituelle. « Mais ne t’en fais pas, » lui dit-elle, « ce soir ma porte arrière sera tout à toi. » Un baiser sur la joue d’Edgar finit par ne lui faire penser à rien d’autre. Le repas fut servi dans la demi-heure suivante. A table, Sélène remercia Edgar pour avoir rebouché le trou. Ce dernier faillit s’étouffer. « De quoi tu parles chérie ? », demanda-t-il. « Je suis rentré plus tôt du travail pour le faire, mais il était déjà ...
    ... rebouché. » Un silence s’installa pendant quelques secondes, mais d’une pesanteur incroyablement lourde. Sélène finit par rire, et continua de manger. Edgar rit à son tour, pour masquer sa gêne. Sélène vit bien que son mari était inquiet, et pour le sortir de son état, se leva de sa chaise, s’approcha de son époux et, se penchant dos à lui, baissa son pantalon. Elle passa sa tête par-dessus son épaule et lui demanda s’il avait toujours faim, avant de déplacer son string sur le côté, dévoilant un derrière entièrement épilé. Dans les vingt secondes qui suivirent, ils étaient déjà dans leur chambre, lubrifiant en main. Edgar en étala une prodigieuse dose sur l’anus de sa femme, qui ronronnait de plaisir. Il s’enfonça très facilement en elle, et lui fit l’amour comme jamais, jusqu’à ce que son regard se pose sur la fenêtre à sa gauche. De sa position, il voyait parfaitement l’ancienne fausse tombe. Continuant de s’occuper de sa femme qui criait de plaisir pour en avoir encore plus, il ne pouvait s’empêcher de se demander qui avait pu reboucher le trou. Edgar finit par jouir dans le derrière de sa femme, et regarda celle-ci s’endormir rapidement, un grand sourire aux lèvres. Il se demandait désormais non plus qui avait pu reboucher le trou, mais pourquoi. Quelqu’un en avait-il profiter pour se débarrasser de quelque chose ? Si oui de quoi ? Il n’arrivait plus à penser à autre chose. Sa tête commençait même à lui faire mal à force d’y penser. Il savait que cela ne s’arrêterait pas tant ...