1. Les Parques 7 & 8 /8


    Datte: 10/01/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, uniforme, noculotte, Masturbation Oral policier, vengeance,

    ... appartement pour faire son shopping avant de prendre le large vers la Suisse. Bien sûr, il avait eu mille occasions de prélever ses empreintes sur des verres, des bouteilles, chez lui, dans le loft, d’en fabriquer des copies avec de la résine et leurrer ainsi son système de sécurité. Mais pour le code à quatre chiffres, il avait fait comment ? Lumière UV pour découvrir les quatre touches utilisées, quelques essais et un formidable coup de bol ? Possible ! Du coup, elle utilisait désormais un code à neuf chiffres et envisageait des systèmes supplémentaires à l’intérieur de l’appartement, lasers, détecteurs de mouvements et de chaleur, commande vocale et reconnaissance rétinienne ! Avec ça, ce serait un méga fort Knox ! Personne ne pourrait jamais faire main basse sur son Chef-d’œuvre ! Heureusement, Antonin a su lui changer les idées, su l’aider à effacer les petites et grandes humiliations subies dans cette affaire. Elle n’est pas du genre « sado-maso » avait-elle dit, ça tombait bien, lui était du genre caresseur, longs préliminaires, sentimental et romantique. Et il n’est pas près de se risquer de lui suggérer de porter un string fendu ! Pour l’instant, elle l’a en travers de la gorge, ce putain de string fendu ! Antonin est confortablement installé dans le canapé du salon, prêt au faire sauter le bouchon du Prosecco. Prêt à bien d’autres choses encore ! Et ça fait un moment qu’il est prêt ! Antonin est patient, mais tout de même ! Sa patience est récompensée : Amélie ...
    ... sort de la salle de bains, s’avance dans le salon et s’arrête à trois mètres du canapé. Elle porte une robe ahurissante. Moulante, bien sûr, une véritable seconde peau. Une robe blanche, qui fait un magnifique contraste avec son corps bronzé. Blanche pour ce qui est du tissu, mais, du tissu il n’y en pas lourd ! D’abord parce la robe est courte, très très courte, ras le bonbon. Dans le Midi, on dirait « tellement courte qu’on lui aperçoit quasi la figoulette ». Le décolleté est vertigineux, un V qui dégringole largement sous le nombril ; un V large, si large dans le haut qu’il dévoile les rondeurs fermes des seins, frise les tétons. Certes, il y a bien un voile pour relier les pans de l’ensemble, mais il est si léger, si discret, si transparent, qu’il ne masque rien de ses appâts. Et quand elle se tourne, pour se faire admirer, il faut descendre à la naissance de la vallée fessière pour trouver les premiers cm² de tissu. Et tout ça tient aux épaules par des cordelettes fines comme des brins de paille. À se demander comment l’ensemble peut ne pas glisser au sol au premier pas. Et pourtant, elle marche Amélie, avec la démarche exagérément chaloupée des top-modèles, sans qu’un téton ne vienne pourtant glisser sous la mousseline diaphane, elle s’assied, avec élégance, dans le fauteuil, tout juste en face lui, sans qu’il puisse même deviner les contours de sa figue. Total control ! Le bouchon de la bouteille saute et Tonin remplit les verres qui, avec l’Aperol, prennent une belle ...
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