Les Parques 7 & 8 /8
Datte: 10/01/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
uniforme,
noculotte,
Masturbation
Oral
policier,
vengeance,
... permanent !— Une certaine… petite eurasienne non ? Amélie rit, renversant la tête en arrière. Dans le mouvement, une aréole apparaît furtivement sous le voile avant de retourner rapidement se cacher. Antonin veut enfoncer le clou : — Quelque chose me dit que vous êtes très proches !— Ça te choquerait ? Quand on cherche les emmerdes, on les trouve ! Antonin ne sait que répondre, il voulait embarrasser Amélie et c’est lui qui se retrouve coincé. Des images fantasmées des deux amies se caressant défilent dans son esprit. Il se décide à répondre, timidement : — N… nnon— Pas très convaincant comme réponse… deux femmes s’embrassant, ça te choque !— Non, répond-il plus fermement Amélie décroise lentement ses jambes — Et deux femmes, nues, s’embrassant, se caressant, ça ne te choquerait pas non plus ?— NON ! La jeune femme prend son verre, boit une gorgée, sans quitter son amant des yeux. Elle repose très lentement son verre, s’adosse profondément dans son fauteuil, entrouvrant légèrement ses cuisses. — Et deux femmes, têtes bêches, langues affolées, se broutant l’une l’autre, ça te choquerait ?— Mais non, bien sûr que non, avoue-t-il la voix mal assurée. Il est sur des charbons ardents, il bande douloureusement, la bite coincée dans son pantalon, gluante de son désir. Amélie écarte un peu plus les cuisses, expose sa chatte visiblement trempée et se caresse doucement les cuisses. — Alors tu ne les verrais pas comme deux fliquettes dépravées à chasser de ton équipe ?— Mais non, ...
... grande bête, bien sûr que non ! Amélie enfonce un peu plus ses épaules dans le dossier, avance son bassin jusqu’au bord du fauteuil, écartèle ses cuisses, masque en partie son chat en posant une main sur son pubis et écarte ses lèvres entre index et majeur. — Mais non, bien au contraire, je pense ! Tu adorerais les mater en train de se caresser… de se branler… comme ceci… pas vrai ? Elle se caresse doucement, promenant ses doigts sur ses grandes lèvres, glissant vers le passage déjà entrebâillé de sa cheminée enchantée, y recueille des perles de mouille qu’elle étale en remontant sur les collines mordorées de sa vulve. Parfois, les doigts glissent brièvement vers le fouillis grenat de ses luxuriantes nymphettes déployées, provoquant un sursaut frissonnant de leur propriétaire. En face d’elle, spectateur subjugué, Antonin admire ce crépon délicat des petites lèvres dépliées, ce délicat papillon rougeoyant. Il s’étonne encore et encore de l’insolence prodigieuse du clitoris dressé qu’il aperçoit lorsque la paume le dévoile en remontant plus haut sur le pubis… Le spectacle, lascif et définitivement impudique, est délicieusement insupportable : n’y tenant plus, il décide de libérer sa queue emprisonnée. Alors qu’il ouvre son pantalon, Amélie l’encourage : — Il est bien temps que tu la libères, ta queue, elle devait souffrir, à l’étroit ! La flamberge tavelée se dresse, colonne amarante où courent les lacets de veines gonflées ; le gland écarlate brille de liqueur. — Hum…hummm… belle ...