1. Les Parques 7 & 8 /8


    Datte: 10/01/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, uniforme, noculotte, Masturbation Oral policier, vengeance,

    ... bête, murmure la jeune femme en se caressant toujours. S’ancrant sur ses jambes, elle soulève un instant ses fesses, passe sa main libre sous son cul, s’assied sur cette main dont elle insinue deux doigts dans l’entrée de son antre juteux. — Enlève donc ton fute que je voie bien tes couilles aussi ! Tonin s’exécute, se déshabille même totalement avant de se rasseoir, la bite en main qu’il n’ose pas branler, de peur de provoquer l’irréparable. Il veut profiter du spectacle offert par son adorable salope qui se fouille la grotte d’une main et s’agace le clito de l’autre. Il voit ses hanches bouger, chalouper. Puis, brusquement la main droite abandonne le clito, file vers une des fines épaulettes, fait sauter un insoupçonnable bouton pression. La deuxième bretelle connaît le même traitement un quart de seconde plus tard, la robe s’effondre, libère les seins tendus et leurs fruits dardés, hypnotiques jumeaux arrogants, sombres et granuleux. — Oh, viens, implore la jeune femme déchaînée, donne-moi ta bite, mets-moi ta queue dans la bouche, je veux la sucer, je veux la… La fin de sa phrase finit en borborygmes incompréhensibles, mais peu importe, il comprend parfaitement ce qu’elle voulait dire. Elle a avalé sa queue, la suce, la lèche, la noie dans sa salive, lui tourmente le gland avec une langue tour à tour pointue, incisive, large, râpeuse. Lui, caresse son sein droit, lui triture le téton, le malaxe avec douceur, fermeté, fougue, il englobe le sein, l’emprisonne, le presse, ...
    ... le flatte avec douceur, l’égratigne avec ses ongles. Elle, ne relâche sa tige parfois que pour suçoter un instant ses couilles rétrécies, les lèche, les suçote, mais reviens très vite engloutir la bite frémissante tout en branlant sa foune de plus en plus vite, de plus en plus fort, et son corps s’arque, tendu vers le plaisir. Il voudrait lui aussi plonger ses doigts dans le chaudron bouillonnant, profiter de son incroyable guignol qui se dresse si insolemment entre les coraux écarlates de son sexe ennoyé, mais il est prisonnier d’une bouche perverse qui le pompe avec ardeur, s’acharne sur son gland, balaye à grands coups de langue la hampe de son étendard. Il sait qu’il ne résistera plus très longtemps à ce traitement sauvage, implore le ciel de la délivrer elle, elle d’abord, elle, avant lui ! Mais il doit avoir frappé à la mauvaise porte, c’est Lucifer qui mène la danse, et il sent tout contrôle lui échapper : le braquemart frémit, tremble, palpite et… expulse son jus. Il éjacule dans la bouche aimée, de longs jets brûlants qui les uns après les autres le secouent, le font se redresser pour mieux l’asservir et courber l’échine. Elle, avale, sans férir, sans tousser ni crachoter, elle avale la liqueur d’homme, consciencieusement. Alors que lui, libéré de la bouche rassasiée, lui, déjà quitte les sommets pour gagner des plaines lénifiantes, elle, dans un ultime déchaînement de ses doigts, elle, s’autorise à libérer son corps. Trois doigts disparus dans son antre, sa paume, ...