1. L'adieu à ma virilité de mâle


    Datte: 11/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Transexuels

    Pour moi, tout a commencé innocemment à l’adolescence. Une incontrôlable envie qui m’a pris au ventre avec une force incroyable.Je me suis faufilé discrètement dans la chambre de ma sœur ou, à défaut, dans celle de ma mère pendant leur absence. J’ai ouvert l’armoire aux senteurs si féminines, j’ai touché et senti avec ivresse la lingerie exposée à mon regard.En tremblant d’émotion, j’ai choisi une petite culotte sexy, celle en dentelle rouge. Irrésistiblement, mon instinct m’a poussé à l’essayer. Je l’ai enfilée sur mes hanches juvéniles tout en m’admirant dans le miroir de la grande armoire.De me voir ainsi a provoqué une vive érection. Excité, ma petite verge turgescente a jailli du délicat tissu et m’a poussé à une vive masturbation. Peut-être même que j’ai joui dans ce fin tissu.De voir, par transparence, ma semence perler goutte à goutte, m’a procuré un orgasme plus fort que toutes les masturbations que je connaissais jusqu’à présent.Au fil du temps, je me suis pris de passion pour la lingerie féminine. J’ai même volé des petites culottes à ma sœur, les cachant comme un précieux butin que je ressortais à chacune de mes envies. Puis suivirent d’autres lingeries intimes toujours plus érotiques, jusqu’à des robes à raz des fesses, des talons hauts vertigineux, des perruques et des maquillages outranciers.A chaque séance, je me masturbais tant le plaisir était fort. J’ai découvert, par ce biais, une jouissance nouvelle, totalement différente de celle que je connaissais ...
    ... avec les filles.Hélas, après chaque orgasme, je me sentais honteux et coupable car un Homme ne se livre pas à ces jeux féminins. Pour des questions de pudeur publique, IL ne remet jamais en cause sa virilité.Ma conscience me dictait alors de renoncer, de jeter ces accessoires féminins si attirants, de corriger ce plaisir que je cachais à ma famille, à mes amis ou à ma compagne. Je ne voulais plus recommencer !Or, le virus de la féminisation était en moi. J’ignorais que je rentrais dans une spirale infernale qui échappait à mon contrôle. Par faiblesse, j’ai recommencé en me cachant des autres, quitte à me dégoûter un peu plus à chaque nouvelle expérience.Puis est arrivé ce jour où ma copine m’a surpris travesti en fille dans sa propre lingerie. Et pour comble, je venais de jouir dans sa petite culotte. Quelle honte !Elle s’est d’abord indigné puis s’est ouvertement moquée de mon ridicule penchant. Après de vaines explications, elle m’a quitté pour un autre homme, bien plus « sain » celui là.Et oui, face à ce désir irrépressible de féminisation, je me suis senti indigne devant elle.Avec le temps, cette séparation m’a finalement arrangé. Je pouvais enfin me livrer ouvertement à mess plaisirs féminins les plus extrêmes. Je me suis donc consolé en disant que cette séparation était une chance.J’étais enfin libre de me travestir à ma guise !J’ai alors acheté à volonté tous ces vêtements et cette lingerie sexy qui m’excitaient tant ! Habillé en femme devant le grand miroir, je me ...
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