L'adieu à ma virilité de mâle
Datte: 11/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gay
Transexuels
... masturbais sans cesse en me godant ( à l’aide d’objets de plus en plus gros) et en regardant mes jambes gainées de soie, mes tétons qui pointaient, ma petite queue dressée qui débordait de la petite culotte sexy.Je prenais des poses suggestives, excessivement efféminées, tout en éprouvant une sensation bizarre. Je ne me rendais pas compte, qu’en me dévirilisant ainsi, j’étais en train de renoncer à mon statut d’homme…Pour me consoler de cette séparation, je me suis fait des amis qui partageaient les mêmes attirances sexuelles que vous : échanger sur Internet nos fantasmes de féminisation et jouer sexuellement à la femme soumise avec des hommes.Conditionné par les autres travestis, j’ai même envisagé un traitement hormonal pour mieux me féminiser et voir ma poitrine se développer. J’ai discuté de mes fantasmes avec des hommes, des hétéros, et j’ai accepté des rendez-vous intimes.Des hommes toujours plus nombreux que je faisais jouir dans leur voiture ou leur lit.Rien à voir avec les gays. Ceux-ci ne m’attiraient pas. Avec les hommes hétéros, je pouvais enfin me travestir à mon gré, jouer de ma féminité et les exciter.Ces hommes recherchaient une femme sexy qui puisse surtout satisfaire leurs penchant sexuels les plus outranciers, des jeux qu’une femme biologique n’accepte jamais de faire, des choses que les hommes n’osent pas demander à leurs épouses ...
... par pudeur.Dans mon cas, eux pouvaient utiliser à leur guise la femelle en chaleur que j’étais, faire de moi un objet sexuel soumis à tous leurs fantasmes. Et moi, j’appréciais cette inversion des rôles, de devenir une femme soumise entre leurs bras.J’ai alors découvert combien une queue de mec entre mess lèvres me procurait un plaisir bien plus fort qu’un vagin de femme, combien le goût du sperme me ravissait en lieu et place de la cyprine. Je ne sais plus sur quel blog j’ai lu que des travestis éjaculaient plus abondamment avec un homme qu’avec une femme, surtout lorsqu’on les traitait en pute.Ça s’était au début quand je découvrais le bonheur de vivre ouvertement ma féminité. Ma féminisation a fait son chemin depuis. Est venue entre-temps l’envie d’être pris comme une femme, un besoin irrépressible d’être enculé, défoncé, dilaté, ouvert au plaisir de l’autre avec une certaine douleur.J’ai acquis de l’expérience et sans même m’en rendre compte, j’ai pris du plaisir par derrière en oubliant mes érections.Je n’éprouvais plus le besoin de jouir et d’éjaculer tant la sodomie me rendait fou de plaisir. Au-delà des premières pénétrations, parfois très douloureuses, mon anus se transformait en une chatte accueillante qui me procurait un plaisir de femme.Et oui, en devenant une femelle soumise au lit, je renonçais inconsciemment à ma virilité de mâle...FIN