1. Les démons de Noémie (7)


    Datte: 11/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... le suçait lentement et sentait qu’il n’allait pas tarder à venir. Cependant, elle n’arrêta pas et le liquide chaud gicla jusqu’au fond de sa gorge. Le garçon grogna de plaisir et retira son doigt de l’orifice. Mais sa main continua de malaxer le sein gauche de Noémie. Finissant d’avaler la semence, elle remplaça le doigt de son cousin par deux des siens. Tout en se masturbant, elle l’interrogea : — « C’est cousin Olivier qui t’a dit de venir me voir ? » — « Oui, il est gentil, mon cousin. Il t’aime beaucoup. » — « Oui, moi aussi, je l’aime... », dit-elle, pensive. — « Toi aussi, t’es gentille, tu m’as fait du bien. » — « Faut que ça reste entre nous, d’accord ? Tu ne le dis à personne. » — « Oui, notre secret, cousine. » Se branler devant lui la rendait folle de désir. Elle le fixait tendrement mais avec une lueur extrêmement perverse dans les yeux. Lui regardait les doigts aller et venir entre les cuisses de sa belle cousine avec un air idiot, et de la bave qui coulait le long de son menton. Ça lui plaisait énormément et elle accéléra le mouvement jusqu’à se faire jouir. Une fois tous ses esprits retrouvés, elle se rhabilla rapidement et sortit avec Paul de la chambre. Quelques minutes plus tard, Olivier et André revinrent. L’oncle alla ranger les courses et Olivier retrouva Noémie et Paul dans le salon. Ils étaient assis dans le grand canapé en cuir noir, à droite de la porte. Plus haut, une tête de cerf empaillée dominait la pièce. Un imposant vaisselier en bois massif ...
    ... se trouvait sur la gauche. Devant le meuble, une table massive et longue, avec six chaises bien rangées. Contre le mur du fond, une grande horloge faisait un « tic tac » régulier. Les murs étaient recouverts d’un papier peint beige avec des grosses fleurs de couleur marron. Un énorme écran était posée sur un long meuble télé noir. — « Tu as dit à Paul de venir me dire bonjour ? », demanda Noémie avec un grand sourire. — « Oui, je l’ai croisé au bourg et comme il devait passer... » — « C’est gentil de ta part. », répondit la jeune femme. « Il est monté directement dans ma chambre. » — « Ma chambre aussi. », fit remarquer Paul. — « Et alors ? Tu n’étais pas visible ? » — « Si, ne t’inquiètes pas. On a juste rigolé tous les deux. », dit-elle, en regardant Olivier droit dans les yeux pour y déceler une faille. Noémie alluma la télé pour couper court à la discussion. Depuis l’épisode avec Paul et ce qu’il lui avait dit, elle savait qu’elle n’avait pas rêvé le coup de fil. Si ce que lui avait révélé Cassandre était vrai, alors Olivier avait délibérément mis Paul dans son lit. Pourquoi ? Comment pouvait-il prévoir ce qu’il allait se passer ? Pourquoi elle ? Autant de questions qui tournaient dans la jolie tête de la jeune asiatique. André les avait rejoint dans le salon. De chaque côté du canapé, se trouvaient deux fauteuils assortis, en cuir noir. Olivier avait pris celui de droite. L’oncle s’assit dans l’autre, près de Noémie. A la télé, un film d’aventure que seul Paul semblait ...
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