1. Visioconférence


    Datte: 11/01/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail amour, pénétratio, fdanus, fsodo,

    Elle lui avait donné rendez-vous dans la salle de visioconférence du bâtiment B, celle du troisième. Elle devait y faire des essais de communication avec une de ses collègues à l’autre bout de la France. "J’ai convenu avec Steph de faire le test à 14h30, mais j’ai la salle bien avant. Viens me retrouver à 13h30, j’ai envie de toi, mon amour", lui avait-elle envoyé en milieu de matinée sur son portable. Rien que l’idée de la retrouver le faisait déjà réagir, il se sentait durcir par avance. Ils avaient une liaison depuis un certain temps tous les deux, elle, la secrétaire du service de l’étage en dessous du sien et lui le cadre plutôt séduisant, mais pas trop. Ils avaient fait connaissance tout bêtement à la machine à café et, comme ils étaient bien dans leur peau, s’étaient mis à sympathiser et, oui, bêtement à flirter tous les deux. La première « concrétisation » de leur attirance mutuelle avait eu lieu lors d’un séminaire auquel ils s’étaient retrouvés fortuitement. Dans l’ambiance, après les quelques verres « entre collègues », ils s’étaient croisés dans le vestibule conduisant aux toilettes et elle l’avait brutalement accosté en se collant à lui pour l’embrasser sans détour. Comme cet assaut l’avait quelque peu déstabilisé, il avait trébuché en arrière contre une porte qui se trouvait être celle des vestiaires. Il pouvait sentir sa langue fouiller sa bouche et, avec ce si beau corps collé à lui et les quelques verres pris, il ne n’avait pu s’empêcher de lui rendre le ...
    ... baiser. Enfin, adossé à la porte, il l’avait prise par les hanches et, tout en l’embrassant lui aussi fiévreusement, l’avait serrée encore davantage contre lui pour lui faire sentir son érection naissante. Elle avait alors glissé sa main derrière lui pour ouvrir la porte et ils étaient tous les deux tombés littéralement dans le vestiaire. Après avoir rapidement fermé la porte, il l’avait ensuite plaquée contre le mur et continué à l’embrasser tout en massant son corps et ses seins plus particulièrement. Elle avait une poitrine superbe qu’il avait déjà plus d’une fois eu l’occasion de regarder au détour d’un décolleté, mais évidemment jamais de toucher. Il bandait terriblement maintenant et elle s’en rendait bien compte. Elle se frottait à lui, son pubis animé d’une véritable danse de Saint-Guy. Il glissait une main sous son chemisier, afin de bien palper ses seins lourds et pourtant fermes. Il sentait les tétons durcir et se mit à les pincer doucement. — Oh oui, fort, vas-y fort, avait-elle dit après s’être dégagée de lui un petit peu. Pince-les forts, j’aime, hmmm, ouii. Elle semblait aux anges, la tête en arrière et les yeux clos. Ses mains s’affairaient autour de son pantalon et elle avait défait sa ceinture, sa braguette et fait tomber son pantalon. Le repoussant un peu, elle s’était mise à genoux devant lui pour extirper son sexe tendu de son caleçon. Tout de suite, elle l’avait pris en bouche et la sensation avait été telle qu’il n’avait pas réussi à se contrôler. Elle ...
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