1. Visioconférence


    Datte: 11/01/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail amour, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... pour la plaquer contre lui. Arrêtant de l’embrasser, il lui murmure à l’oreille : — Est-ce que tu crois que tu es prête pour moi ?— Oui, oui mon chéri, oui je suis prête, tu peux vérifier ! En effet, il a fait glisser un doigt le long de la raie des fesses de sa maîtresse et il sent le sexe chaud et trempé qui s’ouvre sous sa caresse. Comme à chaque fois qu’il la sent prête ainsi, il a une vague de frissons qui le parcourt ; l’excitation d’une femme a toujours été pour lui un aphrodisiaque puissant, si ce n’est le seul d’ailleurs (non, pas tout à fait, il y a quelques autres sensations qui lui font le même genre d’effet…). Il sent un afflux de sang dans sa queue et celle-ci se durcit encore plus. Il bande comme un fou maintenant et continue à faire aller et venir son majeur entre les lèvres trempées. — Prends-moi mon chéri, prends-moi fort, j’en ai envie, lui dit-elle, alors qu’elle défait sa ceinture et s’attaque à sa braguette. Bientôt il se retrouve dans cette position toujours un peu ridicule avec pantalon et caleçon sur les chaussures et les chaussettes qui dépassent. Mais il est bien trop excité pour penser à la situation et sans plus attendre, il empoigne sa queue et la dirige entre les lèvres qui s’écartent toutes seules. Elle a relevé une jambe en posant son pied sur le dos d’une chaise pour lui faciliter le passage. C’est sans effort qu’il sent les chairs trempées se refermer sur lui et il pousse un grand coup en avant afin de l’emmancher entièrement. Il sent ...
    ... son gland buter contre le fond de ce vagin si accueillant. — Oh oui, mon chéri, c’est bon comme ça, baise-moi fort maintenant, donne-moi des coups forts. Elle a la tête rejetée en arrière, les yeux fermés et se mord la lèvre inférieure de plaisir. Il fait de longs va-et-vient en se retirant lentement jusqu’à sentir le bout de son sexe presque sortir d’elle avant de s’enfonce d’un seul coup violent tout au fond d’elle. Il sait que c’est ainsi qu’elle aime être prise. Il la tient par les fesses et la baise maintenant sans ménagement, excité par ce corps tellement magnifique. Il la sent jouir tout à coup, elle est prise de soubresauts et tressaute à chaque coup de queue et tout à coup, voilà, il la sent partir complètement. Tout en continuant à la limer il ne peut s’empêcher de la regarder. Il adore lorsqu’elle jouit, lorsqu’elle s’abandonne tout entière à lui et à ses pulsions. Elle est belle dans la jouissance, encore plus belle « qu’au naturel ». Après les dernières contractions autour de son sexe, il la sent reprendre un peu pied et elle s’agrippe à lui, le serrant de toutes ses forces contre elle. Il sent les bouts de ses seins pointer à travers le chemisier contre son torse. — Ah c’est bon mon amour quand tu me baises, je t’aime, je t’aime mon amour, elle se plaque le plus possible contre son amant, sans pour autant le laisser s’échapper d’elle. Elle a joui, mais elle sait, et, lui aussi, qu’elle va encore jouir et que ce n’est qu’au bout d’un certain moment qu’elle sera ...
«1234...»