Glory holes - Histoires de Sexe

Glory holes

... linge humide, ou bien faire du bouche à bouche à la nouvelle stagiaire qui a fait un malaise en voyant la pile de dossiers à traiter que lui a refilé sa peau de vache de supérieure hiérarchique, ou pour t’apprendre à pisser dans la cuvette et pas à côté (for men, only). Ça, c’est utile ! Enfin, tout ça pour dire que je n’ai pas la tête au travail, et quand arrive enfin l’heure de la débauche, je quitte mon bureau, ma veste à la main et en quatrième vitesse, tellement si vite que je manque d’emplafonner Monsieur Couillapine, notre bedonnant fondé de pouvoir. Je l’évite en exécutant une magnifique véronique. Il me jette un regard noir. Je lui dis que le plaisir m’attend. Je rigole, pas lui ! Et c’est le parking, la voiture, le trajet retour, tout ça en trente-cinq minutes, pour arriver à la maison en même temps que mon épouse. Trop fort ! oOo — Toujours d’accord pour une nuit de folies ? je lui demande, après le bisou dans le cou et la main aux fesses.— Je ne reviens jamais sur mes décisions, tu devrais le savoir !— Jamais ? Je te rappelle, entre autres, que tu as quand même fini par accepter de m’offrir tes jolies fesses, malgré ta position initiale !— De quoi tu parles, là ?— Mais ta position de prédilection, ma chérie : la levrette !— Pffffff ! Allez, je vais me préparer.— Moi aussi, comme ça je pourrai surveiller que tu te laves bien partout ! On ne sait jamais ce qui peut arriver, dans ces lieux de perdition.— Connard !— Je t’aime ! Vingt minutes après, je laissai la ...

... place à mon épouse, qui avait refusé de faire salle de bain commune. Elle m’avait promis de faire vite, sauf que la notion de temps est très variable chez la femme qui se fait belle pour sortir. Mais c’est aussi pour ça qu’on les adore ! Entre autres ! Bon, bref, au bout d’une heure, alors que je commençais à m’impatienter… — Chéri, je suis prête, je te rejoins à la voiture dans deux minutes ! Je me rends sur le parking et je m’installe derrière le volant, mets un peu de zik et j’attends… Vingt-cinq minutes plus tard, une créature tout droit sortie d’un rêve érotique s’assoit à mes côtés. Maquillage de star, robe mi-cuisse moulante, sans soutien-gorge, talons aiguilles, bas résille, porte-jarretelles (ça, je ne le voyais pas, mais je me doutais bien que les bas qu’elle portait ne tenaient pas tout seuls, et comme elle n’aime pas les Dim up…), et j’imaginais aussi le string assorti. Avec tout ça, un nuage de Trésor dans son sillage… Je flattai sa cuisse aussitôt et remontai pour constater si j’avais bien deviné : OK, le porte-jarretelles est bien là… mais… mais… où est le string ? Mes doigts caressaient son minou totalement épilé, tout doux et surtout très chaud ! Finie la petite toison d’or ! Monica me donna un baiser léger, en me soufflant à l’oreille : — Est-ce que je t’excite, habillée comme ça ?— À ton avis, c’est quoi cette bosse sur mon pantalon ?— Je ne sais pas, un faux pli ?— Hmmm, allez, on s’arrache ! oOo Après une demi-heure de route, nous arrivons en vue de ...