1. Glory holes


    Datte: 21/06/2017, Catégories: grp, extracon, boitenuit, danser, jalousie, noculotte, Oral échange, entrecoup,

    ... dérape. — Moi, je suis d’accord, les filles ! Mais c’est nous qui décidons d’arrêter quand on veut ! Et deux danses, pas plus ! T’en penses quoi, Laurent ? Je le regarde, il réfléchit un moment. — D’accord ! lâche-t-il à regret. Sourires des femmes — Tu viens Monica, on va se faire des copains. On les voit se lever, se diriger vers le bar et s’asseoir au milieu des mecs, qui n’en reviennent pas de l’aubaine. — Je ne les sens pas, nos femmes !— Pareil pour moi ! Comme au cinéma, on voit les mecs qui se lèvent, entourent nos chéries et engagent la conversation. Sourires, éclats de rire, mains baladeuses. Charmant ! D’autant plus que l’établissement n’a pas choisi les plus moches, comme Escort boys. Perchées sur leurs tabourets, nos deux poupées gloussent, minaudent, papillonnent, se laissent séduire par ces gravures de mode. Grrrrr ! Mais ce qui m’agace le plus, c’est que de temps à autre elles nous envoient un bisou du bout des lèvres assorti d’un petit coucou de la main. Salopes ! (Pardon aux lectrices, je le ferai plus.) Les julots, eux, se voient déjà en haut de l’affiche, je suis sûr qu’ils ont déjà fait leurs gouttes ! Ça y est, deux d’entre eux entraînent nos épouses au milieu des autres danseurs, en les tenants par la taille, et c’est parti pour les choses sérieuses. On est un peu fumasses, les deux, mais bon, on est dans un club échangiste, et on n’y est pas par hasard. On fait semblant de s’intéresser à nos ongles, on tousse un peu, on se gratte l’oreille, on ...
    ... sirote nos verres, on passe le temps. Laurent en profite même pour se curer le pif. Je le vois déposer subrepticement le produit de ses fouilles nasales sous le rebord du canapé en faisant semblant de relacer sa chaussure. L’infâme ! Pendant ce temps, les deux lascars vont vite en besogne. Ils se sont accaparé nos épouses et se la jouent rose rouge entre les dents(pub). Nos épouses sont sous le charme, elles ne savent même plus qu’on existe ! Celui d’Anna a carrément inséré sa cuisse entre celle de sa proie et pétrit des fesses consentantes. Son acolyte semble plus discret, mais ce qui m’inquiète, ce sont les regards que lui distille ma douce. Il est plus âgé que les autres et je sais que les tempes grisonnantes n’effraient pas ma femme. J’en ai eu un aperçu lors de la fête de fin d’année dernière, où elle s’était laissé aller sur le champagne et que notre directeur lui avait fait du rentre-dedans, l’enfoiré. J’avais dû mettre le holà en douceur, avec l’aide de l’épouse désabusée du vieux beau. Chaud, je te dis ! Heureusement, il y avait plein d’arrivistes sans scrupules qui se sont précipités pour proposer leurs femmes. T’en connais ? Ça ne m’étonne pas ! Je ne les vois plus ! Des couples se sont interposés alors que cette première danse n’en finit pas. Et ce blues… On se regarde de temps en temps avec Laurent, pas trop fiers. Soudain, Anna et son mec réapparaissent, et là, on peut admirer une belle paire de fesses rebondies, alors que la main qui a remonté la robe s’insinue ...
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