Glory holes - Histoires de Sexe

Glory holes

... femme qui nous a posé la question, ils ont tous les deux des bracelets jaunes et dorés. — Avec plaisir, répond ma chérie, qui m’a devancé. Le couple s’assoit, ils posent leurs verres à côté des nôtres. C’est une magnifique brune aux yeux verts, très sexy dans sa minirobe. Lui aussi est brun, décontracté, pas mal de sa personne. — C’est la première fois que vous venez ici ? demande le mari.— Oui, c’est notre première dans un club comme celui-ci, je réponds— Nous aussi ! Nous ne sommes pas trop à l’aise ! Et vous ?— Nous non plus, répond Monica, en me lançant un regard amusé.— Je suis Anna, et mon mari c’est Laurent.— Enchanté, nous c’est Monica et Rémy— Si vous voulez, nous vous proposons de rester ensemble, ce sera plus simple et on aura la paix avec les habitués, dit Laurent.— D’accord, avec plaisir, je lui fais. Monica me pince la cuisse avec force. Comme il fait assez sombre, l’autre couple n’a rien vu. Je me penche vers elle, et en l’embrassant sur l’épaule, je lui chuchote : — Ils ont l’air sympa, les autres couples croiront qu’on est ensemble et ils ne nous importuneront pas. Ils ne te plaisent pas ?— Si, un peu ! Nous nous mettons à discuter de choses et d’autres, en regardant distraitement les danseurs. Anna et Laurent sont très agréables et le courant passe bien. Je remarque que depuis quelques minutes, nos chéries font des messes basses. Anna se tourne vers nous : — Monica et moi, nous voulons vous proposer quelque chose !— On vous écoute, mesdames !— On se ...

... demande comment vous supporteriez que d’autres hommes nous touchent devant vous ! Étonnement des maris ! — Alors voilà ! Nous allons nous laisser inviter à danser par deux mecs. Nous les laisserons nous faire des avances… et plus si affinités. Et on verra comment vous réagissez !— Qu… quoi ! comment ça « et plus, si affinités ! », je fais. Laurent aussi fait la gueule, mais il ne dit rien. — On se laisse draguer, peloter et embrasser, mais rien de plus ! dit Anna— Là, tu me rassures ! fait Laurent Je sens la situation nous échapper, je contre-attaque : — Et si on faisait l’inverse, et que ce soit nous qui pelotions des nanas, hein ?— Hors de question, dit Anna, c’est nous qui avons eu l’idée ! Vous nous prêtez gentiment à des messieurs, vous regardez sans vous énerver et si vous restez sages, on continue la soirée ici. C’est à prendre ou à léch… à laisser !— On veut un accord de principe de votre part, messieurs nos maris ! tranche mon épouse, procédurière. Laurent s’emmêle plus qu’il ne s’en mêle (humour à deux balles). — On pourrait aussi signer une convention de prêt. Mais je ne renoncerais jamais à mon titre de propriété ! C’est clair ? rouscaille le suicidaire. Anna explose : — Quoooiiii ! Tu crois que je suis ta propriété exclusive ? Que le mariage te donne le droit de disposer de moi à ta guise ? Tu vas voir de quel bois je me chauffe, mon bébé !— D’accord avec toi ! en rajoute sa copine. Quelques têtes se tournent vers nous. Il vaut mieux calmer les furies avant que ça ...