1. Humanité


    Datte: 12/01/2019, Catégories: fh, ff, grp, fbi, jeunes, couple, vacances, plage, piscine, bain, forêt, douche, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... devant tous ses gens, que personne ne puisse rien me dire. Que dirait maman si elle me voyait ? » Je chassai bien vite cette dernière interrogation, ce genre de réflexion qui vous pourrit la vie : régler son existence à l’aune de l’acceptation des parents alors qu’il ne s’agit pas de leur vie, mais de la nôtre. Une fois dans l’eau, je jetai un coup d’œil en direction de la plage et je constatai que je n’étais pas le clou du spectacle. Les personnes faisaient tout autre chose que me regarder ; ils s’enduisaient de crème solaire même si parfois cela ressemblait pour certaines femmes quasiment à une masturbation mammaire, ils lisaient un journal ou un bouquin, ils cherchaient des coquillages, ils bronzaient côté pile, puis côté face, ils baguenaudaient sur la plage, etc. Je batifolai gaiement avec Nicolas dans les eaux qui à présent nous dissimulaient aux regards. Il en profita pour me peloter les seins et le mont de Vénus. Il prit une de mes mains pour que je saisisse sa verge déjà bien gonflée. Cette eau qui m’enveloppait complètement le corps me renvoyait à l’état naturel de ma naissance. Je me laissai donc aller jusqu’à jouir très rapidement, et pour une fois en silence. Nicolas m’a soutenue sinon j’aurais coulé à pic. Machinalement, je ne lâchai pas le sexe tendu de mon homme ; je continuai à le branler, tant et si bien qu’il éjacula. Remise de mes émotions, je m’apprêtais à sortir de l’eau, mais voyant que Nicolas ne me suivait pas je l’interrogeai du regard. D’un signe ...
    ... discret il m’indiqua que l’état de son sexe l’empêchait de sortir de l’eau tout de suite. Je le laissai retrouver son calme tandis que je rejoignais nos serviettes de bain. Ce n’est qu’à mi-chemin entre la grève et nos serviettes que j’ai réalisé :« Oh, merde, je suis à poil. » Et puis tout de suite :« Bah, les autres aussi. Et puis c’est vraiment extra. Ne fais pas la sotte : tu ne vas pas te priver du bonheur de sentir le soleil sur tes seins, sur tes fesses, le vent sur ton pubis et l’eau partout pour un vague sentiment de pudeur. Eh puis ces regards sont bienveillants, ils ne jugent pas. » Lorsqu’il a fallu quitter la plage et se rhabiller. Je le fis la mort dans l’âme. Je choisis d’enfiler simplement ma robe, omettant sciemment culotte et soutien-gorge. Oh, j’aurais tant voulu pouvoir rester à poil… Si je ne le fis pas, ce n’est pas par pudeur – je n’en avais pratiquement plus – mais par respect pour les autres et aussi par crainte des autorités. Nous avons décidé, Nicolas et moi, de passer trois semaines d’été dans un centre naturiste en bordure de mer : ainsi je n’aurais plus à me rhabiller après une journée de plage et je pourrais vivre continuellement nue. Le jour j’offrirais mon corps au soleil, au vent, à la mer et aux regards de ceux qui le voudront (ce qui – je dois l’avouer – n’était pas pour me déplaire, ayant découvert en moi une propension pour l’exhibitionnisme), tandis que la nuit c’est Nicolas qui userait et abuserait de ma chair. — Tu es particulièrement ...
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