1. Humanité


    Datte: 12/01/2019, Catégories: fh, ff, grp, fbi, jeunes, couple, vacances, plage, piscine, bain, forêt, douche, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... excitée, me fit remarquer mon chéri au cours de nos ébats sexuels après quelques jours passés dans ce lieu naturiste.— Comme d’habitude, j’aime lorsque nous faisons l’amour.— Non, plus que d’habitude ; il faut croire que notre existence naturiste joue sur ta libido. Il avait peut-être raison. * Nicolas quitta Dijon et m’abandonna. Je me consolai en me disant qu’avec lui j’étais devenue une vraie femme et qu’il avait fait de moi non pas une chienne lubrique, mais simplement une femme qui aime les jeux amoureux et sexuels. Si un homme y prend du plaisir, pourquoi une femme ne le pourrait-elle pas sans être traitée de manière déshonorante ? Nicolas m’avait qualifié de « bonne », un honneur, venant de sa bouche ; nonobstant, il ne m’avait jamais blâmée pour mes appétits de luxure. Ce fut le cas, même après m’être livrée à des pratiques que je m’étais juré de ne jamais accepter, tant je les trouvais avilissantes. Ainsi les fellations avec éjaculations faciales ou en avalant son sperme étaient devenues mon quotidien. J’appréciais également des petits jeux anaux qui débutèrent par des introductions digitales dans mon troufion ; puis, progressivement, il me sodomisa de façon douloureuse, mais terriblement jouissive. Quant à moi, j’allais masser sa prostate, lui procurant des orgasmes puissants. * Après lui, j’eus quelques partenaires peu satisfaisants. Ils avaient toujours des défauts rédhibitoires. J’ai ainsi eu affaire à des machos ou des vicieux et libidineux qui n’avaient rien ...
    ... d’amants attentionnés. Il y eut ceux qui ne pouvaient passer un week-end sans se bourrer la gueule. Lorsque le comportement extérieur paraissait parfait, c’est dans l’intimité que tout n’était pas excellent, comme ceux dont le zob était un pétard à un coup, ce qui me laissait sur ma faim, sans compter ceux dont le pétard était mouillé dès le départ. Je croisai par hasard Cloé, une fille que j’avais connue lors de notre séjour naturiste. Nous avons pris un verre ensemble parlant de tout et de rien et soudain, sans crier gare, elle ficha ses yeux dans les miens et me dit : — J’ai envie de toi.— Moi aussi, ai-je répondu en ne baissant pas les yeux. Cette idée d’avoir une relation sexuelle avec une femme n’avait jamais effleuré l’hétérosexuelle indécrottable que j’étais. Cette fille que j’avais vue à poil tant de fois, mais pour laquelle je n’avais éprouvé que des sentiments amicaux et certainement pas une attirance sexuelle, me faisait une avance à laquelle je répondais favorablement. L’instant d’après je m’étonnais d’avoir répondu si rapidement ; mais mon cri venant du cœur, je ne voulais pas revenir sur mon accord. Nous avons fait l’amour de façon très sensuelle. Dès les premiers attouchements, c’est un sentiment de douceur qui m’envahit. Elle me fit quitter ma chemise ; je lui ôtai son chemisier. Tout en m’embrassant elle ouvrit mon soutien-gorge et le sien ; ils tombèrent entre nous deux et nos seins entrèrent en contact. Ses mains douces caressèrent ma peau, mes rondeurs ...
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