1. Année de terminale (13)


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Trash,

    Je ne pouvais pas m’assoir sans avoir un mal de chien. Et il fallait aussi que je fasse plaisir au prof de chimie. Je n’ai pas attendu qu’il me le demande pour être nue sous ma blouse, me préparant avant le début du cours. Il a encore eu des mots très désagréables et ça m’a touchée profondément. Cependant, malgré la douleur et les humiliations, mes envies sexuelles étaient bien présentes. Il ne se gêna pas pour me faire venir au tableau, se moquant à nouveau de moi, me traitant de canard à ma façon de marcher. Je préférais tout de même être là, à me faire humilier devant tout le monde que d’aller m’assoir sur un de ces tabourets inconfortable. La pause s’annonçait comme je le pensais. Le prof vint me voir lorsque tout le monde avait quitté la classe. J’ouvre ma blouse, la retire et lorsqu’il est devant moi, je défais sa ceinture. Je ne sais pas s’il apprécie que je prenne les devants, son visage reste figé, mais il bande tout de même. Il ne me laisse pas continuer comme je l’espérais. A peine sa verge sortie, il me retourne et me force à me pencher. J’osais encore espérer qu’il pénètre mon minou, mais je sens son gland sur mon anus. C’est déjà désagréable comme ça et il commence à pousser. Ca me brûle aussitôt, je repousse de la main sa verge en lui disant • Non, pas par là, ça me fait mal. • Vas rejoindre tes camarades dans la cours de récréation. • Mais... Je ne peux pas sortir comme ça... Même en blouse... Il y a tout le lycée. • Ce n’est pas mon problème, tu as fait ton ...
    ... choix. Dégage ! • ...D’accord... • D’accord quoi ? • Pour la sodomie. • Je n’ai plus envie, va rejoindre tes camarades. Il continue pourtant à bander. Je comprends qu’il veut que je le supplie. Alors, je lui dis • S’il vous plait, monsieur. Sodomisez-moi. • Je n’ai rien entendu. • Je vous en prie, enculez-moi. • Ha, c’est déjà mieux. Peste ou choléra ? Humiliation publique ou douleur ? J’ai pris le second choix, espérant que la souffrance s’estompera durant l’acte. Il commence à rentrer, je gémis... Ca me pique, ça me brûle. Il lance un paquet de mouchoir sur la paillasse en disant, toujours de façon méprisante "Mords là dedans, je ne veux pas t’entendre". Je le fais, je pleure. La douleur ne s’est pas du tout estompée durant tout l’acte, elle en est même devenue insupportable. Les minutes me paraissaient des heures. Je n’en pouvais plus… Et… Enfin… Le sentir éjaculer dans mes entrailles fut une délivrance, signalant la fin de mon calvaire, en partie. C’était un peu avant que la sonnerie retentie pour indiquer la fin de la pause. J’étais KO, épuisée. Les autres sont rentrés, me découvrant cette fois tremblotante, le visage couvert de larmes. Je n’avais pas changé de position depuis qu’il était sorti de moi, je sentais son sperme couler de cul, brulant l’orifice et souillant mes cuisses. Je suis restée nue un moment, penchée sur ma paillasse. L’un des élèves, passant à côté de moi, me demanda discrètement "Ca va Pauline ?". Je lui fis non de la tête. J’avais mal, très mal. Le ...
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