1. Année de terminale (13)


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Trash,

    ... moindre mouvement amplifiait encore la douleur. Je ne pouvais plus m’assoir. Je ne sais déjà pas comment j’ai fait pour remettre ma blouse, mais c’était bien après que le prof reprenne le cours. C’était l’heure de partir, j’étais un peu plus libre de mes mouvements, la douleur se calmant. Mais, je suis restée debout tout le long. Le temps que je bouge, que je récupère mes affaires, j’étais déjà toute seule dans les labos. J’arrive péniblement au couloir, marchant jambes écartées… en canard… Ca aurait bien fait rire le prof s’il m’avait vue. Paul et d’autres étaient là à m’attendre. Ce premier me dit • Je suis venu en voiture ce matin, je te ramène chez toi. Mais, tu ne peux pas sortir comme ça, faut t’habiller. • Je ne vais pas y arriver. • On va t’aider. On me tient pour que je ne tombe pas. On retire ma blouse, Paul récupère mon débardeur et me le passe, puis mon pull. Je lève une jambe pour passer mon pantalon et certains sont dégoutés en voyant le sperme séché. Et une fille fait "Putain, t’as du sang sur la cuisse", et le silence. Ils me regardent tous étonnés et apeurés. Je crois qu’ils commencent seulement à comprendre la force de la douleur. Une fois entièrement vêtue, on m’a encore soutenue pour aller jusqu’à la voiture. J’ai tenté de trouver une position pour avoir le moins mal possible assise sur le fauteuil, ...
    ... même si elle n’était pas du tout confortable. Paul me dit • On va passer à la pharmacie pour te trouver quelque chose... Je n’ai pas compris ce qu’il s’est passé. Tu les as trop excité ou quoi ? • … Taral a reconnu le maillot de bain. • Merde ! T’as dit quoi ? • Rien. Mais j’ai bien compris la punition. stwsuk • Tu vas faire quoi ? • Ce qu’ils me demandent, bien sagement. Je n’ai aucune envie qu’ils me fassent mal comme ça les prochaines fois. • Ok... Je comprends... Certains de la classe n’ont pas apprécié ce qu’ils t’ont fait... Ils ne feront rien contre les profs, mais t’es pas toute seule en tout cas... Tu as un peu de soutien... • … C’est déjà beaucoup. Oui, il ne se rendait pas compte à quel point ça pouvait compter pour moi. Je me sentais déjà moi seule. Ca ne changerait peut-être rien à ma situation, mais ça m’aiderait à tenir pour les moments difficiles, comme celui d’aujourd’hui. Et je me demandais déjà ce que j’allais subir le lendemain. Je priais intérieurement qu’on laisse en paix mon anus… Pour un moment en tout cas, le temps qu’il se répare. Paul s’est arrêté à la pharmacie, comme prévu. Je l’ai attendue dans la voiture. Il revient quelques minutes après et me donne le sachet. Alors qu’il redémarre, la main sur la boite de vitesse, je vais pour lui caresser la main, il la retire juste avant, je n’ai pas insisté. 
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