Sexe dans l'au-delà - Histoires de Sexe

Sexe dans l'au-delà

... recherche et c’est déjà ce que je fais dans le poste que j’occupe, donc ça veut dire que je suis capable.— Oui, mais vous savez comment c’est dans l’administration, si ce n’était que de moi je vous embaucherais de suite car vous êtes très sympathique.— Merci c’est très gentil. Il la regarda, la dévisagea, l’examina. Il eut un long moment de réflexion pendant lequel Françoise se tenait droite car il ne l’avait pas invitée à s’asseoir. Pour autant, elle ne se départissait pas de son sourire. — Veuillez fermer la porte du bureau et venez vous asseoir. Elle s’exécuta. — Jacques m’a parlé de vous, en bien. C’est un ami proche, vous savez, et il m’a dit que vous étiez une fille sympa, aux idées larges.— Ça veut dire quoi ?— Que vous êtes naturelle et libérée, pas coincée, pas trop de tabous, que vous aimez rire de tout. Vous savez, Jacques me raconte tout et vous vous confiez facilement. Vous le voulez vraiment ce poste.— Oui, bien sûr. Elle avait légèrement rosi de gêne. Il se leva et alla donner un tour de clé à la porte, puis il se dirigea vers elle et sans plus en dire la prit par les épaules et l’embrassa, elle se laissa faire. — J’aurai le poste ?— Si tu fais ce que je te dis, oui. Il lui déboutonna la chemise et dégrafa son soutien-gorge. Cette petite poitrine en forme de poires fermes avec des aréoles larges et foncées apparut. Ensuite il déboutonna son pantalon et sortit sa verge déjà très gonflée. Il l’abaissa par les épaules pour la faire mettre à genoux, la prit par la ...

... nuque et enfourna son sexe dans sa jolie bouche bordée de rouge à lèvres. Ça ne dura pas longtemps, pas plus d’une minute quand il éjacula en grimaçant mais sans mot ni souffle, par discrétion. On était quand même dans le bureau du Directeur du personnel ! Il lui fit signe de se taire et se rhabilla, elle en fit autant, elle allait lui parler quand, d’un geste, il lui fit comprendre, plus tard… Il ouvrit son bureau. — On en rediscutera, madame, votre CV est très intéressant, je vous donnerai une réponse rapidement. J’étais dégoûté, une fois de plus je ne m’étais pas trompé. Quelle salope… Et en plus, elle est con, naïve et con. Et après ? Je me posais cette question quand je me suis fondu dans le décor et que je réapparus le lendemain en fin d’après-midi quand chacun quittait son poste après une journée de dur labeur, (je plaisante…). Elle mettait sa veste quand un type approcha, c’était sans doute ce Jacques. — Alors, tu as vu Michel ?— Oui, hier, je pense que ça va marcher.— Je sais, il m’a tout raconté.— Qu’est-ce qu’il t’a raconté ?— Tout, je te dis ! Elle ne dit plus un mot et baissa la tête en signe de gêne. — Bon, ne t’inquiète pas, il est discret et je le suis aussi, le principal c’est que tu aies ce poste non ?— J’ai besoin de ce travail…— OK, j’ai compris, mais dis-toi bien une chose, si tu l’as c’est grâce à moi, alors il n’y a aucune raison que Michel soit le seul à être remercié. N’oublie pas que, quand on rentre dans l’administration c’est la sécurité assurée, ...