1. Sexe dans l'au-delà


    Datte: 12/01/2019, Catégories: fh, fhh, extracon, Collègues / Travail hotel, humilié(e), Oral pénétratio, fsodo, extraconj,

    ... il faut avoir tué père et mère pour se faire virer. Ce disant, ils marchaient dans le parking, ils étaient presque à sa voiture à elle. Il lui prit la main et la guida vers sa voiture à lui qui était garée tout au fond. Elle se laissa faire. Il la fit monter et dès qu’il entra lui-même, sans rien dire, sans l’embrasser ni la caresser, il se défit le pantalon. — Allez, vas-y ma chérie, fais ce que tu as à faire. Sans rien dire de plus, elle se baissa et le pompa goulûment. Pendant ce temps, il avait soulevé sa jupe et glissé sa main à l’intérieur de sa culotte, il lui avait enfoncé un doigt dans le cul. Quand il éjacula, il lui tint bien la tête pour qu’elle avale tout. Le lendemain, j’étais toujours là car je voulais tout savoir, il s’approcha d’elle à son bureau et discrètement lui chuchota. — Jeudi, tu viens sexy, maquillée à mort, string et porte-jarretelles, OK ? Elle acquiesça d’un signe de tête. J’étais donc là ce jeudi quand elle s’habilla. À midi, Jacques pénétra dans son bureau et lui demanda de le suivre. Dans sa voiture Michel attendait. — Où on va ?— T’inquiète pas, pas loin. On sera de retour à deux heures. Il gara sa voiture dans la cour de l’hôtel Formule 1. Une fois dans la chambre, ils lui demandèrent d’enlever sa robe. C’est vrai qu’elle était bien foutue à cette époque, son string dessinait bien le galbe de ses fesses, sa petite poitrine était craquante et sa ...
    ... taille était fine. Une fille comme ça aurait mérité qu’on la caresse pendant des heures. Au lieu de ça, ils lui firent enlever juste son string, en gardant le reste, lui mirent du Nivea dans le petit trou et l’enculèrent longuement l’un après l’autre. Cette affaire se renouvela le lendemain et le surlendemain. Le troisième jour, au moment de la raccompagner, Michel s’adressa à elle. — Ça me gêne un peu de te le dire, mais pour le poste ça ne pourra pas marcher.— Comment ça ? Tu me l’avais promis ! Tu m’as dit que tu me le gardais…— Ben oui… Je suis désolé, mais je suis pas le seul à décider.— Vous êtes des salauds, vous vous êtes bien foutus de moi et une fois que vous avez et ce que vous vouliez, au revoir tu peux te barrer. Vous êtes des pourritures !— Holà, calme-toi…— Ça va pas se passer comme ça !— Des menaces ? Tu vas te plaindre ? À qui ? À ton mari ? Au directeur de l’hôpital ? Va jouer et fous-nous la paix ! Et bien mes amis, croyez-le ou non, j’ai eu de la peine. Mon sentiment à ce moment-là n’était pas la colère ni l’envie de me venger, mais la tristesse de voir la femme que j’aimais se faire traiter comme une pute. Mais après tout, c’était pas un peu ce qu’elle était non ? De tous temps, les femmes sont toujours allées vers l’argent et jusqu’au dernier jour, elles resteront à vendre, quoi qu’elles en disent. Tout dépend de l’enchère. Si vous voulez connaître la suite, dites-le… 
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