La Muse (29)
Datte: 13/01/2019,
Catégories:
Lesbienne
... l’intérieur. — Oui, je te comprends. Alors tu m’invites ? — Bien sûr. — Je vais lui faire un joli cadeau. Le soir, j’avais mangé avec Caro et Francis au bistrot ; mon tableau était toujours là. Francis me dit qu’il en avait vendus beaucoup et que les bénéfices étaient sur un compte à mon nom. Caro et Francis forgeaient des projets d’avenir sérieux et solides : ils comptaient se marier. Ils m’invitèrent ; je serai le témoin de Caro, et ils voulaient aussi avoir un bébé. Je me suis installée dans le studio ; Caro avait élu domicile chez Francis. Le soir, alors que j’étais couchée, Caro entra et vint s’allonger auprès de moi. — Jen, tu n’es pas fâchée que je sois avec Francis ? — Tu rigoles : je suis ravie, au contraire ! Et si tu te souviens, nous avions dit que notre relation aurait une fin. Bah, voilà : c’est fini, et c’est tout. Sois heureuse, ma belle, lui dis-je en l’embrassant sur la bouche. — Jen... — Oui ? — On le fait une dernière fois en guise d’au-revoir ? — Si tu veux ; mais Francis, que va-t-il penser ? — Je lui ai dit que j’étais bi ; il l’a très bien pris, et je pense qu’il aimerait voir deux filles faire l’amour ensemble. — Eh bien on le fera ; nous pourrions lui en faire la surprise au sauna libertin, et peut-être se le faire à deux. — Tu es toujours aussi nympho, toi ! Chose promise, chose due : je l’ai fait grimper au plafond, et moi avec. Je lui ai attaché les poignets avec les colliers de chat et lui bandé les yeux. Je l’ai fait arriver à l’orgasme ...
... uniquement avec des caresses, des baisers et mes doigts. Ce fut long. Elle ondulait telle une anguille, jusqu’à s’en tordre de plaisir. J’enfonçai ma main presque entièrement dans son vagin et la fis jouir en agitant mes doigts à l’intérieur et en lui titillant son point G, puis ce fut mon tour. — À quatre pattes ! On va voir si tu as les trous encore bien dilaté et si la queue de ton Amerloque a été aussi bonne que tu le prétends, m’ordonna-t-elle. À l’aide des colliers pour chat, elle m’attacha les poignets aux genoux ; déséquilibrée, je me retrouvai la tête sur l’oreiller et le cul en l’air. Elle m’envoya une bonne paire declaques sur les fesses puis elle me cingla les cuisses, les fesses et le dos ; j’avais mal et je pleurais. J’avais l’impression que les lanières du martinet me déchiraient la peau, et je serrais les dents pour ne pas crier. — Jen, regarde : un nouveau jouet ! Je tournai la tête. Elle avait à la taille un gode-ceinture ; il me parut énorme. — Je l’avais acheté pour faire la fête quand tu rentrerais ; les choses ont changé, mais pas toi. Alors tu vas l’inaugurer. Jen, je vais te sodomiser. Tu entends ? Je vais t’enculer, et tu vas adorer ; fais-moi oui de la tête si tu es d’accord. Je fis le oui demandé ; j’avais peur pour mon cul, mais j’avais hâte de me faire défoncer. Elle passa derrière moi, me lubrifia l’anus dedans et dehors et m’empoigna par les hanches. Le phallus était juste à l’entrée de mon trou qu’il forçait ; mon sphincter s’ouvrait progressivement. ...