1. Elle


    Datte: 13/01/2019, Catégories: f, ff, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69,

    ... deux amours : Corinne et Héloïse, et mes compagnons de jeux. Je regardais ses cheveux envahissant ma cuisse et son regard limpide… À ce moment, souple et féline, se déplaçant come un nuage, elle se releva un peu puis m’enjamba, me laissant soudain la vision de son sexe et de son joli petit cul quasiment devant mon nez, et elle plaqua sa bouche sur mon minou. Surprise, je n’entrepris rien. En fait, c’était inéluctable depuis le début. Sa délicatesse me fit frissonner. J’imaginais qu’elle relevait ses cheveux pour me caresser avec. Puis je sentis son souffle, et doucement la chaleur de sa langue. J’étais bien. Petit à petit, je sentis arriver en moi ce moment où l’on s’aperçoit que le plaisir commence à naître. J’avais envie. Envie de mon plaisir, mais aussi envie de la sentir, la renifler, la posséder. Je réalisai que tout ceci était possible, et je posai mes mains sur ses reins, les caressant doucement, prenant possession des courbes de ses fesses. Puis j’appuyai un peu sur ce dos lisse et chaud afin qu’elle se laisse glisser sur mon visage, ce qu’elle fit doucement. J’eus soudain son duvet sur ma bouche, et mon nez calé dans le sillon de ses fesses. Quel bonheur ! À ce moment, le monde extérieur n’existait plus, et je goûtais au fruit non défendu, légèrement acide, d’un parfum léger et envoûtant. Elle s’abandonna sur mon visage dans un frisson ; cherchant son petit bouton ...
    ... bien caché, je repris conscience qu’elle avait pris possession de mon intimité avec ses doigts qui investissaient progressivement mes deux orifices. Alors ma bouche se déplaça jusqu’à trouver son petit trou, et ma langue s’insinua là, provoquant de nouvelles secousses de son corps, me sentant au creux de sa pudeur comme elle l’était avec un doigt au fond de la mienne. Je ne tardai pas à sentir la vague annonciatrice de l’abandon dans le plaisir me submerger et se répandre tout autour de mon corps. Loin de me laisser sur le rivage, je sentis que j’étais branchée sur son être et c’est d’une langue, de deux mains, de mes seins, mes jambes, mon sexe encore arrimé à son visage… que je la fis s’envoler dans une succession de gémissements d’une sensualité qui me touchèrent au point que je sentis quelques larmes venir. Puis ce fut le calme. Je restai là sans bouger avec ce corps inerte posé sur le mien. Enfin, au bout d’un certain temps, elle tressaillit et se retrouva blottie dans mes bras. Et nous échangeâmes notre premier baiser, doux, doux, doux. Peu après, elle me dit, tel le Petit Prince demandant un dessin : — Tu viens chez moi ? Puis elle ajouta, mutine : — Par le petit chemin, on n’est pas obligé de se rhabiller.— Mais que vont dire tes cousins ? rétorquai-je, ne me voyant pas débarquer à poil chez les gens.— Oh, depuis le temps qu’ils nous matent avec les jumelles ! (à suivre) 
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