1. Les invitations du patron (1)


    Datte: 14/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Je travaillais depuis six mois chez mon patron quand, quelques jours après lui avoir présenté ma femme Inès au hasard d’une rencontre dans le restaurant où nous dinions et où il recevait un client, nous reçûmes une invitation pour une soirée. Il y avait un dress-code : Femmes, robes longues le plus dégagées possible, hommes, marcel, débardeur, short ou approchant. C’était bizarre, ma femme et moi dûmes en convenir. Mon boss avait l’air d’être un original, mais je n’allais pas refuser une invitation à quelqu’un qui me versait plus de 5000 euros par mois. Nous nous rendîmes à l’invitation à l’heure dite dans un château qu’il avait récemment racheté et réaménagé à grands frais. Jean-Pierre , mon patron donc, avait fait rapidement fortune, ce qui a trente-cinq ans , n’est pas mal. Plusieurs voitures étaient déjà dans la cours. Nous montâmes le perron. Après avoir sonné, une soubrette vint nous ouvrir. Elle portait la robe noire et le petit bonnet traditionnel des domestiques et un tablier blanc des plus classiques. "Qui dois-je annoncer"? Après lui avoir donné nos identité, elle se retourna donc et se dirigea vers une grande pièce. Nous vîmes alors qu’elle était entièrement nue sous son tablier. "C’est quoi ce truc" ? dit-ma femme pendant que la domestique annonçait : "Laurent et Inès" La femme du patron, que je n’avais jamais vue, vint aussitôt à notre rencontre l’air enjouée. C’était une femme de 30 à 35 ans à peu près, grande, brune, à la chevelure strictement maintenue par ...
    ... un chignon. Elle avait respecté le dress code au plus près. La robe noire était effectivement très "dégagée " puisque que se nouait derrière le cou un long pan unique et très étroit tombant entre les deux énormes seins entièrement à jour. Au niveau du nombril, la robe se fendait en deux pour ne couvrir que les cuisses, la chatte apparaissant superbe avec un fin ticket de métro très brun soulignant le pubis. Inés me siffla " C’est des tarés, on se barre". Jean-Pierre arriva à ce moment là. "Ah Laurent, merci d’être venu. Et voici votre charmante épouse. Ravi de faire enfin plus longuement votre connaissance. Venez, nous allons vous présenter tous nos amis. Tout le monde est arrivé Marie-Albane "? Sa femme, ainsi interpelée, répondit par l’affirmative à la réserve du médecin qui ne devait plus tarder. Et ils nous firent entrer dans l’immense salon. Le patron aussi était peu vêtu; son débardeur noir en mailles transparentes laissait voir une musculature encore plus avantageuse que ce que je devinais lorsque je le voyais habillé. Son short en cuir noir était très court, laissant apparaître la base du cul rond et ferme et, le sexe se dévoilait presque intégralement sous les lacets blancs qui ne fermaient rien devant. "Vous connaissez la comtesse de X"? Non je ne la connaissais pas. Mais ce fut un choc. C’était aussi une grande femme, blonde et très bien faite. Elle était enceinte de six mois à peu près et son ventre était conforme à son état. Elle portait une robe tout en fines ...
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