1. Les invitations du patron (1)


    Datte: 14/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... courroies de lin sur lesquelles étaient enfilées des perles multicolores Un anneau reliait les courroies entre elles au niveau du cou et, de là, les perles s’écartaient sur le galbe des seins certaines se concentrant entre les deux ou les contournant. Les filets qui passaient entre les seins ne pouvaient se maintenir sur le ventre gonflé et glissaient sur les hanches, ainsi tout le pubis touffu et le fente rose apparaissaient au grand jour. Son mari, le comte, Portait un body au lanières très fines, en string à l’arrière dévoilant un cul splendide et au cache-sexe qui avait du mal à garder son précieux dépôt. Ses abdos étaient au jour et son pubis aussi, entièrement épilé. On voyait la base de la bite et le haut de la raie du cul dans un short beaucoup trop petit. Le comte et la comtesse commencèrent à nous complimenter et à adresser à nos hôtes leurs félicitations pour le choix de "ces nouvelles recrues", c’est à dire nous. Ils louèrent l’épaisse chevelure de ma femme, aux reflets blond vénitien et très longs, à tel point qu’elle en avait fait une tresse qui tombait très bas dans le dos. Sa peau très blanche, très pâle, presque laiteuse, faisait encore mieux ressortir l’or de ses cheveux. Inès souriait bêtement, visiblement très inquiète et moi je jetai un coup d’œil rapide sur les autres personnes. D’abord, il y avait le personnel. Outre la soubrette, il y avait deux colosses très différents l’un de l’autre à l’exception de leur costume identique (Enfin le costume....Chacun ...
    ... portait un nœud papillon et un string noir qui enserrait le sexe sans le couvrir à la manière d’un cockring.), de leur musculature de rugbyman et de la taille de leur sexe. Les mensurations au repos devaient être à peu près égales. Deux énormes boudins épais, couverts d’un gros prépuce moulant un gros gland et une paires de couilles digne du règne animal qui saillaient fièrement grâce à la ficelle du string qui les maintenait cap devant. A part cela, Dominique, le plus petit, était entièrement épilé. Benjamin était très grand au contraire et roux comme un écossais. Le premier, comme nous l’apprîmes ensuite était "homme à tout faire" (vraiment tout) du comte et de la comtesse. Le second rendait les mêmes services ici. Tous deux, portant plateaux, servaient des rafraichissements ou des gourmandises aux invités. Un autre couple était aussi gêné que nous en apparence. C’était un de mes collègues, Yvan, que je connaissais seulement de vue et sa ravissante femme, Lisa. Il était arrivé dans l’entreprise à peu près en même temps que moi. Il portait un débardeur et un short des plus normaux et sa femme une robe longue très élégante qui la moulait en dégageant le dos très bas mais sans indécence. Ses seins étaient très gros comme ceux de ma femme. Sur un large canapé, trois personnes était installé. Une fille était coincée entre un homme de vingt-cinq à vingt-six ans, portant débardeur déchiré sur sa poitrine sculptée et son nombril Un shorty trop court laissait pendre une couille sur ...
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