Le séminaire - Partie 3 - Désir intense
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
amour,
pénétratio,
nostalgie,
amourcach,
extraconj,
... profondément de plaisir pendant que je prends délicatement position, jusqu’à ce que je vienne me poser contre ses fesses, sans forcer. — Qu’est-ce que tu en penses ? La sensation te plaît ?— Oh… Mon dieu… C’est fou !… J’ai l’impression que je te sens deux fois plus que la dernière fois. Elle a la voix qui tremble. Mais la démonstration n’est pas finie. Je fais un léger mouvement de recul avec le bassin : — Une dernière chose, cette position permet aussi d’aller un peu plus loin… Cette fois, je descends d’un petit coup sec et vient claquer ses fesses. Elle ne peut s’empêcher de lâcher un petit gémissement à la fois de plaisir et de surprise. Je la pénètre désormais au maximum. — Ça, c’est ma position préférée ! Je la laisse savourer une dizaine de secondes puis je recule et sors de son corps avant de m’allonger à côté d’elle. Léa est immobile. Au bout d’une minute elle tourne la tête et me regarde agacée avec un air plein de frustration. J’ai été méchant, soit je ne commence pas, soit je termine mais m’amuser avec elle de la sorte, c’est un peu cruel j’avoue ! — Bon allez, il est tard, demain je conduis !— Mouais… Je peux me mettre dans tes bras au moins ?— Allez, viens. Je remets mon boxer afin d’enfermer ma part la moins raisonnable « pour ne pas faire de bêtise » je lui dis. Elle vient ensuite se lover, contre moi. Son corps est doux, chaud. Tout d’un coup, je sens le désir remonter, j’ai envie d’elle… Le jeu est terminé et désormais mes idées de la faire saliver se sont ...
... évaporées. Je suis de nouveau confronté à mon attirance pour elle. Mais il ne faut pas céder. Mon sexe est toujours plein d’excitation quand je ferme les yeux et je m’endors, une barre de fer dans mon caleçon. Je suis réveillé progressivement au milieu de la nuit par une étrange sensation. J’entrouvre les yeux et je vois une main à l’intérieur de mon boxer. Elle me tient, me caresse le sexe. Je sens également un souffle chaud contre mon cou. Je ne suis pas totalement éveillé, je referme les yeux en agitant la tête : — Arrête Léa… Arrête… Elle le saisit à pleine main et commence à le branler. — Arrête… je n’en peux plus… arrête ou je ne me contrôle plus… Elle continue. — Arrête, ou je te fais l’amour… Elle prend dans sa bouche le lobe de mon oreille, commence à le sucer et le mordiller. C’est en trop pour moi, j’écarte la couverture de la main et me place au-dessus d’elle, m’appuyant avec les bras et les genoux contre le matelas. Il n’y a presque pas de contact alors entre nos deux corps. La faible lumière du lampadaire qui filtre à travers le rideau me laisse distinguer son visage. Il n’y a pas de sourire qui s’esquisse, son regard est sérieux, très sérieux. Nous ne jouons plus. Ses mains sont autour de mes hanches et, pendant que j’ai basculé au-dessus d’elle, ses jambes se sont recroquevillées. Je ne sais pas si elle avait remis sa culotte suite à notre petit jeu de tout à l’heure mais elle ne la porte plus. Tout ce que je vois c’est sa petite toison, finement taillée. Ses ...