Le séminaire - Partie 3 - Désir intense
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
amour,
pénétratio,
nostalgie,
amourcach,
extraconj,
... mains baissent mon caleçon en prenant soin de l’écarter à l’avant pour ne pas buter contre mon sexe en érection. Je ne quitte pas son regard des yeux pendant que, d’un mouvement lent mais déterminé, je la pénètre entièrement. Nous sommes au point le plus avancé où nous sommes déjà allés ensemble. Mais cette fois, pas question d’arrêter. Pas de soupir ou de gémissement cette fois non plus, nous sommes tous les deux concentrés. Une fois totalement en elle, je repars en arrière, puis je reviens. Je commence à imprimer un mouvement de va-et-vient. Nos deux sexes étaient faits pour se mélanger, je me sens tellement bien en elle. Elle ne fait pas l’amour souvent et je sens que son intimité est étroite mais elle n’est pas non plus habituée à des situations aussi excitantes et la façon dont elle mouille me permet de glisser avec une telle facilité. Il n’y a cette fois plus de pensées, plus de tabou ou de remords, je n’ai qu’une seule chose en tête : lui faire l’amour. Le rythme de mes allers-retours est parfait, je prends du plaisir mais je ne vais pas trop vite pour risquer de finir avant l’heure. Tout d’un coup nous nous laissons aller. Je m’approche et l’embrasse intensément. Ses mains serrent mes hanches plus fort et ses jambes viennent se croiser dans mon dos. Avec une main je lui malaxe les seins puis je descends lui agripper une fesse afin de la pénétrer plus fort. Nous libérons petit à petit toute notre frustration passée. Nous continuons ainsi pendant dix à vingt minutes ...
... pendant lesquelles je sens le plaisir monter. Je suis surpris de tenir aussi longtemps, mon désir pour elle était si intense ! Je pensais pouvoir résister à quelques va-et-vient tout au plus. J’accélère la cadence puis lorsque je sens que je vais exploser je me retire et viens jouir sur son pubis. Je mets un certain temps à me vider, mes jets de sperme sont longs et puissants. Une fois terminé, un peu essoufflé, je la contemple. Ses joues se sont devenues rouges, son regard est profond, ce moment est important pour tous les deux. Qu’est-ce qu’elle est belle, si naturelle… Je l’embrasse tendrement, un baiser derrière lequel je ne réussis pas à définir mes sentiments puis je retourne à mon sommeil, finir la nuit sans de nouveau être réveillé. Faiblesse charnelle Au petit matin, le réveil est froid. Le corps chaud de Léa ne parvient pas à empêcher le sentiment de culpabilité de m’envahir tel un poison. Tout au long de ma préparation, pendant que je me lave ou que je m’habille, je sens qu’il commence à grignoter mon cerveau.« Qu’ai-je fait ? » « Comment ai-je pu ? ». Je me sens minable. J’ai une femme folle amoureuse qui m’attend, se languit de moi tous les soirs, m’envoie des mots doux et pourtant j’ai commis l’irréparable. Léa voit bien qu’il y a quelque chose qui cloche, mais même au moment du départ elle n’ose pas me demander, peur de ma réponse, peur de mes potentiels regrets… Je pars passer le weekend chez mes amis. Je suis quelque peu isolé, occupé à préparer mon intervention ...