1. Avec le jeune voisin qui m'avait espionnée


    Datte: 21/06/2017, Catégories: fh, fplusag, collection, Oral pénétratio, confession,

    Depuis que j’ai eu l’occasion de me masturber devant le fils de mes voisins, j’ai envie d’aller plus loin. Je me suis sentie flattée qu’un jeune étudiant, qui aurait 19 ans dans quelques jours, puisse s’intéresser à moi. Je ne me vois pas aller le draguer ouvertement. Si je suis libérée sur le plan sexuel, je ne peux me faire une réputation de croqueuse de jeune homme, compte tenu de ma profession - que je tairais. Quand je le croise dans la ruelle depuis mon exhibition de début mai, il ne me regarde pas. Il fuit mon regard. Il doit sans doute se sentir coupable de m’avoir espionnée. S’il savait que je l’ai fait sciemment, en sachant qu’il me guettait ! J’ai envie de savoir si je peux le séduire, de voir s’il pourrait oser aller plus loin que de m’observer à travers la haie. J’imagine des stratagèmes. J’en discute sur le net. Le coup du robinet est un peu téléphoné, tout le monde connaît l’histoire du plombier, cela manque d’originalité. On me suggère de lui demander de l’aide pour déplacer un meuble, pour récupérer un objet lourd au-dessus d’une armoire… Mais j’ai envie qu’il ait l’impression que notre rencontre soit fortuite. J’ai peut-être une solution. La cabane de jardin installée par les propriétaires est équipée d’un ressort puissant qui ferme la porte toute seule. Dans cette cabane on trouve le mobilier de jardin et les outils de jardinage. Ils ont mis une espèce de clenche qui retombe toute seule lorsque la porte claque. Ils m’ont d’ailleurs prévenue car cette ...
    ... clenche ne peut s’actionner de l’intérieur. Ils ont donc installé une cordelette que l’on doit passer sur un piquet pour retenir la porte tandis qu’on est dans la cabane. Ce piquet donne des signes de faiblesse. En le bougeant un peu je crois qu’il ne résistera pas à la puissance du ressort de la porte. J’ai profité du temps pluvieux de cette mi-juillet pour donner du jeu au piquet : il ne résistera pas la prochaine fois que je maintiendrai ouverte la porte de la cabane de jardin, en l’y attachant. Il ne reste plus qu’à attendre des conditions météorologiques justifiant une nouvelle bronzette pour tenter le stratagème. Je suis impatiente mais je culpabilise aussi à l’idée de ce que je suis en train de manigancer… Je culpabilise parce que je profite de sa relative jeunesse. Ce 20 juillet, une belle journée chaude et ensoleillée se profile. Il est quatorze heures. Je suis dans ma chambre, au premier étage. Je surveille le jardin des voisins. Il n’est toujours pas là. Va-t-il se décider ? Est-il sort ? Je me désespère. Je prends mon livre, m’allonge sur le lit et patiente. À la fin de chaque chapitre, je me dirige à la fenêtre pour, hélas, constater que le jardin est toujours inoccupé. Je finis par penser que cela ne sera pas pour aujourd’hui. Quinze heures quinze. Je décide de me faire un thé. Par acquis de conscience, un coup d’œil à la fenêtre. Oh miracle ! Il est là, allongé sur sa chaise longue contre la haie. Il espère sans doute me voir. Il ne va pas être déçu. Mon cœur bat ...
«1234»