1. Avec le jeune voisin qui m'avait espionnée


    Datte: 21/06/2017, Catégories: fh, fplusag, collection, Oral pénétratio, confession,

    ... déjà vite. J’enfile mon bas de maillot de bain et un t-shirt bleu. Je sors par la porte-fenêtre de la cuisine. Mon jeune voisin ne doit pas en perdre une miette. Je traverse le jardin en direction de la cabane dans l’idée d’y prendre une chaise longue. J’ouvre la porte, l’attache par la ficelle sur le piquet, entre dans la cabane. Aïe, malgré le jeu que j’ai donné au piquet, il retient encore la porte. Je choisis de forcer le destin en tirant un tout petit peu. Le piquet cède enfin. La porte claque et la clenche ferme la porte. Je suis enfermée. Je déploie tous mes talents d’actrice en appelant à l’aide et en tapant sur la porte. Une minute passe et je commence à me demander si je ne risque pas de passer une partie de l’après-midi dans cette cabane. Tandis que je crie de plus belle, la porte s’entrouvre. Mon jeune voisin se dresse devant moi. — Ouf, heureusement qu’il y avait quelqu’un pour m’entendre.— Vous avez de la chance, j’étais justement dans le jardin. Quel hypocrite ! Enfin, compte tenu de ce que je manigance, je n’ai guère de leçon à lui donner. Je sors de la cabane de jardin. La lumière m’éblouit un peu. — Je ne sais vraiment pas comment vous remercier. Sans vous, je restais coincée tout l’après-midi, au moins.— Mais c’est normal. Vous n’avez pas à me remercier. Il s’apprête à repartir par la porte du jardin. — Je ne connais même pas ton prénom. On est voisins et on ne se connaît pas du tout. C’est quand même navrant.— Je m’appelle Aymeric. Vous, c’est Maelys, je ...
    ... crois.— Oui, c’est bien ça. Tu ne vas pas repartir comme ça. Viens, je t’offre à boire. Nous entrons par la porte-fenêtre de la cuisine. Je l’imagine observant mes jambes et mes fesses sous mon maillot. — Installe-toi dans le canapé. J’arrive. Je sors des jus de fruits du réfrigérateur et les dépose sur la table basse devant le canapé. Je me penche volontairement en avant pour sortir deux verres du buffet, dans une posture impudique qui dévoile mes jambes et laisse deviner l’anatomie de mes fesses, voire de ma vulve. Je pose les verres sur la table et m’assieds à côté de lui. — Qu’est-ce que tu veux ?— Un jus d’orange, s’il te plaît. Je nous sers un jus d’orange qu’il commence à déguster. — Ça ne te gène pas si je retire mon t-shirt. Il fait si chaud !— Non je t’en prie.— Je n’ai rien en dessous. Ça ne va pas te choquer ?— Tu peux y aller, j’ai déjà vu tes… eux des seins ! Je retire mon t-shirt et dévoile mon opulente poitrine. C’est un test pour moi. S’il détourne les yeux et semble gêné, je saurai que mes projets tombent à l’eau. Au contraire, il les regarde avec attention, ce qui a pour effet de faire dresser un peu mes tétons. J’ai une belle poitrine, ronde et ferme. Un bon 95 C. Aymeric a les yeux qui pétillent. Je fais mine de boire mon jus d’orange sans faire attention à lui, mais du coin de l’œil, je tente de percevoir un renflement suspect dans son short. Difficile de me faire une idée ; il est trop ample. Je tente le tout pour le tout. Je pose mon verre et je titille ...