1. Une femme pour deux.


    Datte: 16/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Première fois

    ... dans le salon. Je remets le champ’ au frais, les fleurs dans un vase et lui propose de se défaire de sa veste. On s’installe, lui dans le canapé et moi dans un fauteuil juste au moment où ma femme chérie fait son entrée. Entrée triomphale devrais-je dire. Même moi qui la connais sous toutes les coutures, j’étais « baba ». Et que dire de notre hôte ? J’ai cru qu’il allait se décrocher la mâchoire. Certes il l’avait vue en photo lors de notre prise de contact. Vue d’ailleurs en tenue très dénudée. Mais là, ouahhhh !!! A couper le souffle. A l’époque elle avait 38 ans, pas ronde mais disons en chair. Une belle paire de seins bien fermes. Du 95B je crois me souvenir. Un cul rebondi et de belles jambes assez fines. Pour l’occasion elle avait revêtu une petite robe noire plutôt moulante et assez courte. Si bien qu’il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir qu’il n’y avait rien en dessous à part des bas et un porte jarretelles.Une fois sa bouche refermée, notre nouvel ami, François se leva pour la saluer. Ma femme lui fit la bise d’entrée, sans hésiter. Il resta un peu pantois puis réagit et se rassit dans le canapé où ma femme vint le rejoindre. Vous vous doutez bien que sa robe ne suffirait pas à lui cacher les cuisses. Je peux même dire, étant assis en face d’eux, qu’à quelques centimètres près c’est sa chatte qui aurait été à l’air.François hésitait sur l’endroit où porter son regard. Les cuisses ? Le décolleté plongeant ? Les pointes des seins prêtent à déchirer le fin ...
    ... tissu ? Je le voyais un peu désemparé. Alors pour lui permettre de se reprendre, je servais l’apéritif et je lançais la conversation. Tout y passait. La pluie, le beau temps, la politique, le travail, les enfants. Bref, tout, sauf le cul. C’était encore trop tôt.Surtout que moi, dès lors que le RDV était pris, je vivais et revivais une scène que pourtant nous n’avions pas encore vécue. Je fantasmais. Je me faisais des films. Et plus ça avançait, moins je me voyais faire une simple partie de cul à trois mais plus j’imaginais ma femme prendre du plaisir dans les bras d’un homme généreux de sa tendresse, de ses caresses, de ses coups de reins. Qu’il lui fasse crier ses orgasmes. Petit à petit je m’étais mis au second plan. Il fallait qu’elle soit heureuse. C’est tout.On passe à table. Je laisse François et ma femme à leur discussion et je vais en cuisine afin de mettre la touche finale au plat que nous avions préparé auparavant.Finalement notre choix s’avère concluant, François est un hôte charmant. Il est intéressant. Parle bien et nous avons pas mal de goûts communs. Il s’essaie timidement à quelques compliments sur ma femme. J’en profite pour orienter un peu nos propos vers quelque chose de plus coquin. Pour servir le vin, plutôt que de rester assis, je me lève et fait le tour de la table avec ma bouteille. Au passage, je fais « malencontreusement » tomber une bretelle de la robe sur le bras de ma femme et lui fais un clin d’œil. Elle comprend le message et ne réagit pas. Si bien ...