1. Une femme pour deux.


    Datte: 16/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Première fois

    ... qu’à moins d’être aveugle encore une fois, François ne peut pas rater les ¾ d’un sein juste devant son nez.Afin de rentrer encore un peu plus dans le vif du sujet et surtout de bien mettre François à l’aise. Je lui demande ce qu’il pense de ce qu’il voit en ce moment et si c’est aussi bien que la photo qu’il connaît. Dans un premier temps il est un peu gêné mais ça ne dure pas et il me confit que l’originale est bien mieux que la photo. Ma femme le traite de flatteur en minaudant mais lui bien sur, l’assure de son honnêteté.Je vous passe un peu les détails mais sachez que l’ambiance était bonne et propice à ce que nous voulions faire.À la fin du repas, je propose que nous allions dans notre chambre pour y prendre le café car nous avons une grande chambre avec un petit salon canapé. C’est à l’étage et ma femme en tête, nous montons les escaliers lestés soit d’un plateau avec les cafés, soit de la bouteille de champagne.On s’installe. Tous les trois dans le canapé, ma femme au milieu. La conversation reprend. On aborde un peu les raisons de la venue de François. On ne rentre pas trop dans les détails. Surtout moi car je ne sais pas ce que pensera ma femme de mes nouvelles aspirations. On boit le café. Je débouche le champ’. Mais rien ne se passe. Ma femme ne semble pas vouloir provoquer quoi que ce soit. François ne doit pas se sentir le droit de commencer. Alors je prends les choses en main.Tout en discutant, je baisse les deux bretelles de la robe qui n’est plus ...
    ... maintenue maintenant que par les deux tétons tendus. Ma femme me regarde en souriant. C’est bon, elle a compris. Je caresse sa cuisse de mon côté et fais un signe du menton à François. Voilà, ça y est, il a compris aussi. Sa main se saisit de l’autre cuisse. Ma femme se cale bien au fond du canapé, la tête légèrement en arrière et mine de rien, écarte un peu ses cuisses. Je fais tomber complètement sa robe et dévoile ses deux obus dressés, durs, tendus. Je fais un clin d’œil à François qui ne se fait pas prier et se jette bouche en avant sur l’objet de son désir. Il suce, il tête, il mordille. Ma femme râle doucement ce qui l’encourage encore plus. Sa main a rejoint la mienne alors je lui laisse la place sur une fente trempée, gonflée qui s’entrouvre doucement.Nous avons chacun un tétons en bouche. Ma femme nous prend par le cou et pousse nos têtes sur ses seins prêts à éclater. Je laisse François s’occuper seul de ma femme et je me fous à poil. Il y avait pénurie de logement dans mon slip. De fait ma bite sort tel un diable de sa broîte. J’en ai presque mal tellement je bande. Déjà rien que ça. Voir ma femme se faire peloter par quatre mains dont celles d’un quasi inconnu. C’est super excitant. J’en rêvais et c’est là. Maintenant, sous mes yeux. Je suis debout à côté du canapé, la bite au garde à vous, et ma femme, ma petite femme, ma princesse, l’amour de ma vie se fait tripoter la chatte, bouffer les nichons par un autre que moi. Et surtout, elle y prend plaisir. C’est ...