Le Congrès - Partie 07
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... suis tenue par les hanches un sexe me lime la bouche, un autre le cul, j'ai un sexe dans chaque main que je branle. Il en est de même pour mon amie qui comme moi est couverte de sperme. Cela ne s'arrêtera donc jamais. Quand un sexe quitte ma bouche remplie de foutre, un autre prend sa place avec son lot de gifle et claque sur les seins, le ventre, la chatte. On me défonce toujours soit la chatte soit le cul avec des sexes que je dois sucer après. Je ne sais combien d'hommes se sont succédés de cette façon, ceux qui étaient épuisés étaient remplacés par d'autres. Une accalmie nous permet enfin de nous reprendre notre souffle. Notre repos ne dure pas longtemps. Monsieur Moreau revient vers nous. Il nous attrape toutes les deux par les cheveux et nous déplace vers des sortes de blocs de pierre avec des anneaux au sol au quatre angles. — À quatre pattes, en position... le cul bien haut... allez vite! dit-il en nous claquant les fesses. A nouveau, je suis face à Barbara, je vois son visage décomposé, ses cheveux souillés de foutre, ses yeux en larmes, des marques de coups sur ses bras, ses seins. J'imagine que son ventre et ses cuisses sont comme les miens. Il nous attache l'une après l'autre, il referme les anneaux au niveau de nos coudes et de nos genoux. Cette position, les avant-bras au sol, nous oblige à relever notre croupe et à avoir les chevilles et les cuisses bien écartées. La proximité avec Barbara me fait du bien et me rassure. Une jeune femme au crâne rasée, noire ...
... de peau, s'approche de nous en poussant une desserte devant elle. Je peux voir qu'elle à un anneau dans le nez ainsi qu'à chaque sein. Son visage ne montre aucune expression. Monsieur Moreau ne dit rien mais je la vois prendre un appareil qu'elle met en route et elle commence à raser la tête de Barbara. Mon amie pleure, prise de spasme, elle voit comme moi ses longs cheveux tomber sur le sol devant elle. Toujours silencieuse, la jeune femme enduit alors le crâne de mon amie et finit son travail par un rasage soigné. Elle se recule et regarde Monsieur Moreau qui lui fait un signe de la tête et elle s'approche de moi. Je sais ce qu'elle va me faire. Je me résigne à ne plus avoir de cheveux sur la tête. Je sens la tondeuse vibrer sur mon crâne. Je vois moi aussi mes cheveux tomber. Mes larmes accompagnent ma résignation. Je sais à ce moment-là que c'est une des pires tortures et humiliation morales qui soient. Je serai dépouillée publiquement de mon honneur et de ma féminité. Si j'ai éprouvé du plaisir à me faire baiser de toutes les façons qu'il soit possible de l'imaginer et même au-delà, cette fois ci, ma honte est totale. Parce qu'elle tourne autour de moi pour me raser, j'ai l'occasion de voir le chiffre "3" tatoué sur le pubis de la jeune fille et une marque qui a dû être faites au fer sur sa fesse droite. Après les vibrations de la tondeuse, Je sens la lame de rasoir. Elle me paraît plus douce. Je ne me vois pas mais j'imagine mon crâne tondu comme celui de Barbara et de ...