Le Congrès - Partie 07
Datte: 17/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... cette jeune fille. J'ai envie de crier mais je ne le fais pas. Je sais que je serais punie encore pour cela. Je garde ce cri en moi et je pleure. Soudain, mes pleurs laissent la place à une pensée effroyable. Si nous sommes tondues comme cette jeune femme, il est possible que comme elle, nous subissions nous aussi un marquage au fer et un tatouage de notre numéro sur notre pubis. Je n'ai pas le temps de penser très longtemps car aussitôt qu'elle s'est retirée aussi silencieusement qu'elle était arrivée, Monsieur Moreau nous caresse la croupe et nous rentre dans nos culs un gode qui me parait énorme. Il joue avec, je n'ai même plus la force de gémir et Barbara semble aussi résignée que moi. — Voilà! Mes sales putes, vous êtes vraiment bien ouvertes, vous allez pouvoir recevoir vos nouveaux partenaires qui vous prendront comme il leur plaira. Il nous fait nettoyer les godes avec lesquels il vient de nous enculer et nous les laisse dans la bouche. — Vous êtes des chiennes justes bonnes pour des chiens, dit-il en riant. A ce moment-là j'entends, Léa dire : — Venez mes chéris vous allez pouvoir profiter de nos deux nouvelles grosses chiennes. J'entends des couinements et des halètements dans mon dos. Je vois Barbara écarquiller les yeux, avec le gode elle ne peut pas parler mais elle semble vouloir me dire quelque chose. Elle est effrayée, je sens quelque chose humide sur ma chatte. Comprenant ce qui arrive, je défaille. Quand je reprends comment connaissance, Monsieur Moreau m'a ...
... retiré le bâillon, je lui demande alors : —Pourquoi? Pourquoi? Il me regarde avec un sourire calme sans aucune animosité comme si ce que venait de se produire était normal. — Mais vous n'êtes plus des femmes, vous êtes des femelles, il nous faut trouver les mâles qui correspondent le mieux à votre nature. Et souvenez-vous que vous méritiez une punition, celle-ci ne fait que commencer... Je ne sais plus que lui dire, trop choquée pour lui répondre. Mon amie semble être partie dans un autre monde, elle murmure des paroles incompréhensibles. — Pour que vous n'ayez pas trop peur cette nuit, je vais laisser la lumière allumée... Et vous aurez aussi de la compagnie. Les hommes cagoulés se retirent avec lui. Ils avaient assisté à la scène bestiale sans dire un mot. Certain avant de partir, s'amusent à nous glisser un doigt ou plus dans la chatte ou le cul et de venir nous le mettre sous le nez ou dans la bouche. "Voyez comme c'est bon le sperme de mâles..." Je pleure, je sens que je vais perdre la raison. Je me demande si ce n'est pas déjà le cas de Barbara. Les hommes nous laissent seules, je tente d'interpeller mon amie mais elle ne semble plus avoir aucune réaction. — Barbara! Barbara! Réponds-moi! Elle relève la tête les yeux dans le vague. Je pleure, ai-je définitivement perdue mon amie? C'est de ma faute si elle est comme cela? C'est moi qui ait cédé à mes pulsions et qui l'ait entrainée dans cette déchéance. Soudain j'entends la porte qui s'ouvre derrière mon amie, une ombre ...