1. LES ROUTIERS SONT SYMPAS - 2


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... de lui faire face étant tout nu, mon sexe se retrouverait en face de ses lèvres... En profiterait-t-elle pour me « pomper » ?... A cette idée, j’ai une érection terrible... « Lève-toi que je te fasse les fesses (ceci étant fait) elle dit : tourne-toi... » Je me retourne, lui faisant face, le « braquemart » face à sa bouche. Elle a une grimace « d’admiration » « Mon Dieu, quelle trique !... Je ne vais pas y toucher... Garde-la moi pour tout à l’heure... » puis elle quitte la pièce. Une fois lavé, rasé, parfumé, je mets le peignoir. Comme il se boutonne bien, je reste nu dessous. Je me rends à la cuisine ou je trouve Raymonde qui finit de mettre deux couverts sur la table. « J’ai téléphoné pour me faire livrer deux pizzas aux fruits de mer... Ça ne te fait rien... J’aime les fruits de mer et les pizzas... Surtout que je vais dormir après... Pas sur... Pas tout de suite... Oui mais pas trop tard... Demain j’ai de la route à faire... Je vais aller me doucher... mets-toi à l’aise en attendant... (me montrant un petit meuble) Là tu as des apéritfs... Sers-toi... Je vais faire vite... » Ayant vu une bouteille de vin blanc sur la table et ne voulant pas trop m’alcooliser, je me sers un apéro doux et m’installe dans un fauteuil du salon. Je n’attends pas trop. Comme promis, Raymonde a fait vite. Elle arrive vétue d’un peignoir boutonné jusqu’au cou et chaussée de mules d’intérieur. Elle se sert un apéritif, Nous trinquons à notre nrencontre. Le livreur sonne... Nous passons à ...
    ... table... Tout le temps de ce simple repas, je me posais la question de savoir si, comme moi, elle était nue dans son peignoir. Cette pensée me maintenait en érection permanente... Les pizzas sont vite avalées, le vin blanc vite bu. Raymonde se lève, me prend par la main et m’entraine vers sa chambre. « Mon ami, tu ne vas pas dormir encore... me dit-elle. Sur la route, tu m’a donné un plaisir immense. Je n’ai jamais autant joui de ma vie... A mon tour de te faire voir ce que je sais faire à un homme !... » Disant celà, elle me prend par le cou et m’embrasse « à pleine bouche ». Surpris, j’en ai le souffle coupé. Ce long et fougueux baiser terminé, elle s’écarte un peu, déboutonne mon peignoir et, écartant les pans, découvre ma nudité, mon sexe raide « au garde à vous » contre mon ventre. « Mon salaud, tu as encore envie de me faire l’amour... Je suis si désirable que ça ?... Mais bien sur... J’aime donner du plaisir à des femmes dites mûres. J’aime aussi qu’elles m’en donnent... En principe elles sont expérimentées et plus « patientes » que les jeunes de mon âge et même plus jeunes... » Tout en parlant, j’ai déboutonné et ouvert son vêtement. Elle aussi est nue... Les peignoirs tombés, je regarde ses seins tendus vers moi. Un peu « lourds » mais encore bien ronds. Prenant chaque mamelon entre mes doigts, je les fais « rouler ». La réaction est immédiate : Ils deviennent dur comme des cailloux. Les soupirs de Raymonde m’encouragent à continuer. Je quitte un téton pour le prendre entre ...