1. LES ROUTIERS SONT SYMPAS - 2


    Datte: 17/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... mes lèvres et le « titiller » avec ma langue. Il durcit encore... Je passe au second mamelon et lui fait subir le même sort... Ma main libre se plaque contre sa vulve poilue. Avec les doigts, j’en écarte les lèvres pour permettre à mon majeur d’entrer et de fouiller jusqu’au plus profon de sa grotte. Brusquement, Raymonde s’écarte : « Je t’ai dit que c’est moi qui vais te faire jouir... Laisse-moi faire ! » Elle me pousse. Je me retouve couché en travers du lit qui est derrière moi, jambes pendantes, sexe pointé vers le plafond. Aussitôt elle me le prend d’une main et commence à me masturber. De l’autre main, elle me caresse les testucules. Puis, approchant sa bouche, elle me prend le gland entre ses lèvres et, du bout de la langue, « chatouille » le petit trou d’ou suinte le liquide séminal. Elle n’en laise perdre aucune goutte. Après quelques vas et viens masturbatoires, c’est à pleine bouche qu’elle continue à faire monter la tension dans ce pieux de chair... Je ne reste pas inactif... Toujours allongé, je la prends par dessous son bras « libre » et l’attire sur le lit. Elle vient. Sans arrêter de me « pomper ». Ensemble nous « pivotons » pour se retrouver allongés dans le sens de la longueur du lit et dans la position dite du 69. J’ai sa « foufoune » en face de moi. J’y introduit un puis deux doigts. Je « fouille » dans sa « grotte » dégoulinante de foutre. Avec le pouce, je masse son clitoris encore caché sous les plis de ses petites lèvres. Je le sens gonfler. Quand ...
    ... il commence à se découvrir, je plaque ma bouche contre ses lèvres intimes d’ou ruisselle un délicieux nectar. Je my sésaltère avec plaisir avant d’en « pincer » le bourgeon turgescent entre mes lèvres. Je le « décalotte » complètement et l’agace du bout de la langue. Il est tellement gonflé que j’ai l’impression de faire « rouler » une petite olive entre les lèvres et la langue, Raymonde apprécie. Ses soupirs, ses « grognements », ses râles me le confirment. Á mesure que son plaisir monte, son « pompage » s’accélère tout comme le massage de mes testicules. Je sens aussi mon « chibre » qui prend de plus en plus de volume. Il remplit tellement la bouche de raymonde que, de temps en temps ses dents « raclent ». La petite douleur que cela provoque m’aide à me retenir pour ne pas « éclater » au fond de sa gorge... Poussant un long cri de jouissance, Raymonde se raidie. Son corps est saisi de tramblements comme s’il était électrisé. Elle ne peut pas parler, à peine respire-t’elle. Après un dernier soubresseau, elle s’allonge contre moi. Je la sens complètement inerte. C’est « la petite mort » qui suit l’orgasme. Quand elle retrouve son souffle et son calme, elle me dit : « Mon salaud, quelle jouissance ! Quel bonheur ! Je suis litéralement « flapie », complètement exténuée... Mais j’ai encore la force de faire ton bonheur... » Ayant la verge toujours raide, Raymonde se place, à genoux, à hauteur de mon bassin. Prenant mon « pivot de la joie » d’une main et, en s’abaissant, elle le ...