1. Un jour maîtresse, un jour soumise


    Datte: 13/08/2017, Catégories: fh, hépilé, fépilée, jardin, parking, caférestau, cinéma, danser, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, intermast, Oral pénétratio, jeu, fsoumisah, hsoumisaf, lieuxpubl,

    ... gonflé, la peau du prépuce tendue vers l’arrière. Ma respiration se fait plus forte. Je me mords les lèvres lorsque mon sperme jaillit de mon pilon dans un flot saccadé. La main de Marie est couverte de sperme comme ma queue ainsi que mon bas-ventre. Marie porte sa main à sa bouche pour l’embrasser puis me la tends en murmurant : "Lèche-moi", ce que je fais immédiatement. Même si ma voisine n’a pas vu clairement, compte tenu de l’obscurité, elle a compris ce qui s’était passé et sa position a changé. Après notre essuyage, nous regardons à nouveau le film qui doit en être au deux tiers. Ma respiration ayant retrouvé son rythme de croisière, Marie pose à nouveau sa main sur ma queue, immobile cette fois. Sur mes épaules, je sens une autre chaleur d’une main qui se pose, descend sur mon torse, s’arrête sur un sein. Les doigts jouent avec le mamelon, ce qui a pour effet de revigorer Popol. Marie s’en rend compte et constate la présence de cette main étrangère. Elle croise dans la pénombre le regard de ma voisine et échange un sourire de complicité. La main de ma voisine abandonne le téton pour descendre vers ma queue, rencontrant au passage la main de Marie. Alors, comme si elles s’étaient parlé, la main de Marie guide la main de la voisine dans l’exploration géographique des bijoux de famille et de Popol. Les doigts des deux mains se baladent sur ma queue comme s’ils jouaient sur une flute, puis atteignent les bourses, palpent les testicules en les attrapant séparément. Et ...
    ... jusqu’à la fin du film, c’est une partition à deux mains qui est jouée sur mon buste et bas-ventre. Au générique, avec la complicité de la voisine, Marie me restitue ma chemise que je renfile et boutonne rapidement. La sortie s’effectue dans la cohue, nous nous suivons et je sens bien à plusieurs reprises des mains baladeuses qui s’aventurent sur mon cul ou ma bite dans une caresse furtive, mais ce n’est pas fait pour me déplaire vu mon état d’excitation. Il est près de 20 H et nous arpentons les rues piétonnes de Montpellier pour rejoindre la voiture. Je suis toujours cul nu mais je n’ose pas demander à Marie ce qu’il est advenu de mon bermuda. Nous contemplons les rues commerçantes encore éclairées puis Marie décide de s’arrêter dans un snack pour manger un morceau rapidement. L’en-cas terminé sans incident majeur hormis les chaises de bar un peu hautes qui faisaient remonter ma chemise régulièrement, en sortant du snack vers 22 H, Marie me demande : — Il ne fait pas froid, tu déboutonnes ta chemise jusqu’à trois boutons à partir du bas. C’est à dire à l’affleurement du gland de ma bite ! Je m’exécute en me disant que nous allons certainement prendre des rues peu éclairées. Ce n’est pas vraiment le cas au début et j’ai bien cru que j’allais me faire chahuter par un groupe de militaires au-delà des sifflets et remarques. Marie me regarde et est fière de me voir lui faire confiance à ce point. Jusqu’à présent, je me suis appliqué à lui obéir, et avec un certain succès. Le parking ...
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