Un jour maîtresse, un jour soumise
Datte: 13/08/2017,
Catégories:
fh,
hépilé,
fépilée,
jardin,
parking,
caférestau,
cinéma,
danser,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
intermast,
Oral
pénétratio,
jeu,
fsoumisah,
hsoumisaf,
lieuxpubl,
... descend presque à mi-cuisse : mes bijoux de famille à l’air passent inaperçus si je ne gigote pas trop ou si un courant d’air ne soulève pas un pan de ma chemise. Nous déambulons alors dans la ville vers le centre piétonnier en commentant de temps à autre ce que nous observons, j’en arrive presque à oublier que je suis cul nu sous ma chemise ! Soudain, le courant d’air lié au passage d’un véhicule me rappelle ma condition et, de justesse, je maintiens ma chemise en position. Marie sourit et me précise : — Tu vois comme c’est pas facile pour nous les femmes ! Nous arrivons vers 17 H près d’un centre de cinémas et la séance étant à 17 H 10, Marie propose d’aller voir le film à l’affiche. Après avoir acheté les billets, nous nous installons dans la salle, Marie choisissant un rang assez loin de l’écran, vers le milieu de la salle, à côté d’un groupe de jeunes gens. Marie m’indique la place à côté d’une femme apparemment du même âge qu’elle et je vais m’installer, Marie se plaçant à mes côtés. Marie me murmure à l’oreille : — Je veux que tu sois assis directement sur le fauteuil et pas sur ta chemise.— Oui maîtresse. J’ai toujours la chemise boutonnée et en m’exécutant je constate que ma voisine, souriante, fixe ma poitrine épilée. La pénombre se fait, les bandes annonces arrivent et Marie demande : — Déboutonne ta chemise complètement.— Oui maîtresse. Et je déboutonne. À peine terminé, Marie pose sa main sur ma queue en écartant largement les pans de ma chemise. Dans la ...
... pénombre, ça ne se voit pas mais si avant le film l’éclairage est rétabli… La main de Marie monte et descend lentement le long de la verge, ses doigts effleurant la peau, elle m’écarte davantage les jambes pour palper plus aisément les bourses. Ma respiration est plus profonde, j’ai l’impression que ma voisine nous observe mais je n’ose pas tourner la tête. Les bandes annonces se terminent et, anticipant le rétablissement de la lumière, je rabats les pans de ma chemise. Marie me serre la queue fortement pour manifester son agacement. Je croise des regards furtifs de ma voisine toujours souriante, qui a l’air de mater la main de Marie dissimulée sous mon pan de chemise. À nouveau la pénombre et le film commence. Marie se penche à mon oreille : — Pour ta punition, tu enlèves ta chemise et tu me la donnes. Je frémis à l’idée qu’elle ne me rende pas le vêtement d’ici la fin du film et que la salle entière me voit nu ! Je lui fais confiance et après le "Oui maîtresse" je lui donne ma chemise. Ma voisine a vu la scène même si je me suis dessapé discrètement. La main de Marie poursuit toujours son mouvement de caresse, remontant sur le buste, redescendant sur les cuisses en passant par le sexe. Le film se déroulant, Marie commence à préciser ses attouchements et entame un mouvement régulier et silencieux de va-et-vient sur ma queue. Petit à petit, elle resserre sa main et ma queue apprécie visiblement ce branlage de ma femme. Ma queue est de plus en plus volumineuse, le gland décalotté et ...