Un jour maîtresse, un jour soumise - Histoires de Sexe

Un jour maîtresse, un jour soumise

... décide alors de tout enlever et se retrouve en quelques secondes en tenue d’Ève. N’hésitant pas, je retire mes habits et m’assois nu à côté de ma soumise ; je lui prends la main et la pose sur ma queue en démarrant un mouvement de va-et-vient. La table nous applaudit à l’unanimité. Le spectacle de strip-tease se termine, ma soumise et moi nous nous rhabillons. Nous dansons un peu puis rentrons nous reposer. Je monte régulièrement à Paris dans le cadre professionnel pour la journée. Cette fois-ci Marie, étant en vacances, m’accompagnera et en profitera pour faire du shopping pendant que je serai en réunion. Nous nous rejoindrons au déjeuner puis nous terminerons la journée par une balade sur les lieux qui ont animé notre vie étudiante, avant de rentrer. Comme d’habitude, cet aller-retour dans la journée nécessite de partir à l’aube pour arriver sur Paris avec le premier train. Marie porte un petit haut blanc à fines bretelles, en coton, boutonné sur le devant avec un corsaire. Elle s’est habillée pratique pour arpenter les magasins de la capitale et découvrir la bonne affaire. Cette tenue très classique associée aux sous-vêtements sages, soutien-gorge et petite culotte blanche en coton, donne à Marie un style très étudiante. Je ne me gêne pas pour lui faire remarquer, par un compliment, son allure jeune et fraiche. Et nous démarrons notre discussion sur le temps qui est passé depuis nos premières expériences de vie commune. Et là, au détour de la conversation en attendant le ...

... train, la discussion prend une tournure inédite : je lance le défi à Marie de me rendre jaloux. Elle décide de relever le défi pour la journée et me promet de me faire sortir de mes retranchements. Nous nous installons dans le train et le trajet commence. À l’arrêt suivant, Marie décide de s’installer face à moi de manière à laisser la place libre à côté d’elle. Un homme se présente et s’y installe. Marie sourit et laisse à penser qu’elle est seule. Son voisin est assez jeune, et élégant. Ils commencent à discuter en se présentant et la conversation se développe autour de leurs situations respectives. Marie, de temps à autre, me jette un regard mais je ne laisse passer aucun signe de jalousie. Marie décide de déboutonner les deux premiers boutons de son haut, laissant entrevoir le haut de son soutien-gorge. Son voisin affiche un sourire de satisfaction et poursuit sa conversation sur des projets de vacances. Marie prétexte alors une envie pressante et rejoint les toilettes. À son retour, on peut remarquer que son petit haut est de nouveau boutonné mais que sa poitrine, libre, se balance au rythme de ses pas. Marie se rassoit et ce n’est pas sans ravir son voisin. Elle explique qu’elle trouve qu’il fait chaud et qu’en cette saison il n’est pas facile de s’habiller. Leur conversation reprend de plus belle. Marie explique son contexte professionnel et machinalement dégrafe de nouveau les trois premiers boutons de son haut. Son voisin peut alors mater facilement son décolleté et ...