Un jour maîtresse, un jour soumise
Datte: 13/08/2017,
Catégories:
fh,
hépilé,
fépilée,
jardin,
parking,
caférestau,
cinéma,
danser,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
strip,
intermast,
Oral
pénétratio,
jeu,
fsoumisah,
hsoumisaf,
lieuxpubl,
... trajet, ma maîtresse vérifie de temps à autre l’état de Popol et fait un compliment. Durant une vingtaine de kilomètres d’autoroutes, elle me demande de retirer ma chemise puis mon bermuda puis de les repasser avant le péage de sortie, ce que j’exécute à la lettre. Après avoir garé la voiture, nous déambulons dans les rues de Montpellier. Nous visitons des lieux caractéristiques, nous prenons des photos. À l’heure du déjeuner, nous nous installons à la terrasse d’un restaurant en bordure d’un point d’eau très agréable avec des tables en fer forgé recouvertes de nappes. À peine assis, ma maîtresse se penche discrètement vers moi et me murmure : — Donne-moi ton bermuda et pose tes fesses à même le fer forgé des chaises. Je m’exécute lentement en prenant soin de ne pas attirer l’attention du voisinage, ma maîtresse arborant un sourire de plaisir. Elle range mon bermuda dans son sac pendant que je me rassieds délicatement sur la chaise : le contact du métal froid sur le bas des bourses me fait raidir. Je sens, quelques instants plus tard, le pied nu de ma maîtresse me caresser les couilles et la queue, cachées par la nappe et les pans de ma chemise. Ma queue redouble de volume, pleinement satisfaite de ce traitement. Une serveuse vient prendre la commande, ma maîtresse choisit tout en m’astiquant la queue avec son pied. Lorsque la serveuse quitte la table, je vois le regard de ma maîtresse s’illuminer et elle me dit : — Te souviens-tu du défi au café, la semaine dernière en ...
... vacances ? Eh bien à toi maintenant : je veux que tu dégrafes tous les boutons de ta chemise. Je la regarde, un peu paniqué, puis je commence par le haut. Arrivé au nombril, je ne peux m’empêcher de lui dire : — Mais je n’ai pas de slip !— Tu n’as pas le droit de discuter mes ordres, ma chose. Jusqu’au bout, j’ai dit, me réplique-t-elle. Je continue, un puis un autre, il en reste deux. Si je les défais, les deux pans s’écartent et tout le monde me voit. Marie, me scrutant, intervient alors : — Tu gardes seulement le dernier bouton. Je pousse un soupir de soulagement. Alors que la serveuse nous apporte les plats, Marie me caresse toujours du pied puis donne un coup léger pour que je recule sur le dossier. La serveuse voit alors les deux pans de ma chemise ouverts sur mon buste épilé et même ma queue raide que je peine à cacher. Je rougis, la serveuse pouffe de rire et repart. J’ai l’impression que tout le monde le sait autour de nous, je regarde ma maîtresse qui affiche un sourire de satisfaction. Nous déjeunons sans incident majeur, le pied droit de ma maîtresse s’activant sur ma queue. À la fin du repas, ma maîtresse m’autorise à reboutonner jusqu’au dessus du nombril. Après avoir réglé l’addition, Marie m’annonce avec aplomb : — Nous allons marcher un peu vers le centre piétonnier, cela va nous activer un peu. Avec appréhension, n’osant rien dire à ma maîtresse sur mon bermuda, je décolle lentement mes fesses de la chaise en fer et constate, une fois redressé, que ma chemise ...