1. Hymne à la virilité (4)


    Datte: 18/01/2019, Catégories: Divers,

    ... mesurera pas, mais il était désormais pourvu d’un gargantuesque 42 cm. Et les couilles de rattraper leur retard en enflant dans des proportions toutes aussi folles. Elles faisaient désormais la taille de deux oranges, gorgées de jus et pendantes. Un filet de lubrifiant s’échappait sans discontinuer du gland, entrecoupé toutes les 15 secondes environ d’un gros jet qui éclaboussait son visage et son oreiller. La prochaine éjaculation serait un véritable torrent déchaîné, capable de noyer littéralement n’importe quel outrecuidant. L’étalon baignait dorénavant dans une sorte d’extase diffuse, un océan de pulsions animales qui assaillaient son cerveau totalement submergé. Une jouissance se faisait ressentir sous forme de multiples pics chaque minute, dont certains réussissaient à être plus intenses que les plus faibles orgasmes qu’il put avoir avant le début de sa métamorphose. Cet état de quasi-transe sexuelle le poussait à émettre des râles de plaisir non-stop, comme lors d’une masturbation très stimulante. Il ne s’en rendait même plus compte, totalement subjugué par son nouveau corps. Il caressa ses pectoraux, ses biceps ronds et veineux ainsi que ses abdominaux bien creusés qui irriguaient un ruisseau de sperme vers le pubis. Il ressentit soudain le besoin d’entraîner ses muscles gonflés à bloc par les hormones. Ils débordaient d’énergie et voulaient se dépenser comme des fous. Cloîtré dans son studio, sans aucun matériel de sport, il décida de faire des pompes, pour la ...
    ... première fois de sa vie. A peine se mit-il à genoux qu’il fut gêné par son monstrueux chibre dont le gland plaqué au sol l’empêchait de faire le mouvement. Cela le contraria fortement et saisit le premier objet qui lui passait sous la main pour le réduire en pièce. Ce fut son caleçon trempé qui gisait par terre. Il le déchira d’un coup sec, puis encore, puis encore. Il roula les morceaux en boule et les jeta contre le mur. A la vue de ces morceaux de tissus informes, il eut une idée. Rien de telle pour se rendre compte de son évolution que de comparer son gabarit avec ses vêtements. En se levant pour ouvrir le placard, il eut un moment de déséquilibre. Jamais il n’avait vu sa chambre d’aussi haut. Il ne le savait pas mais il culminait à 1m88. Dix-neuf centimètres de gagnés en un éclair ! Quand il se fit à son nouveau centre de gravité, il ouvrit le placard et choisit un vêtement. Il tenta de porter un T-shirt, le plus large qu’il possédait. Il se débattit tant bien que mal pour l’enfiler, craqua quelques coutures au passage et réussit néanmoins à s’en vêtir. Ce qu’il vit lui fit un énorme choc, peut-être plus fort encore que lorsqu’il découvrit sa bite de 33 cm. En dehors de la sensation d’étouffement, l’habit moulait à l’extrême sa toute nouvelle musculature. Les manches, incapables de contenir les bras, étaient retroussées jusqu’aux épaules. Le col était très distendu et laissait apparaître la séparation entre les deux pectoraux. Le bas du T-shirt s’arrêtait juste au-dessus du ...
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