Hymne à la virilité (4)
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
Divers,
Chapitre 4 Lejeune homme, yeux fermés et tête en arrière, sentit sa longue verge grandir à nouveau. Le gland, toujours bloqué par l’élastique de son caleçon, appuyait de plus en plus fortement. Le sang affluait toujours plus et comme les fois précédentes, Maxime crut sentir son membre sur le point d’exploser. La pression eût finalement raison de l’élastique et sa bite se libéra de l’emprise du caleçon pour se dresser fièrement au-dessus de son bas-ventre, inclinée à 60°. Elle continua encore de s’allonger, surplombant le nombril, les abdominaux, pour finalement s’immobiliser au niveau du sternum. Les testicules se mirent à chatouiller leur propriétaire puis enflèrent un peu plus encore pour atteindre la taille de deux clémentines, très à l’étroit dans ce caleçon devenu bien trop court. Le jeune homme maintenait ses yeux fermait pour mieux ressentir les sensations, mais se rendait bien compte que ce bazar à son entre-jambe prenait des proportions épiques. Lui qui il y a à peine une heure avait encore un pénis de 12 cm, se retrouvait avec un anaconda de 33 cm. Une part d’innocence dans son for intérieur rejetait ce monstrueux phallus, voulait redevenir comme avant. Mais elle fut rapidement noyée par les torrents de testostérone qui coulaient dans ses veines. Ces dernières, d’ailleurs, commençaient à imprimer un relief sur tout le corps, serpentant le long des bras, du torse et des jambes. Sans oublier la bête qui se para d’une énorme veine zigzagant tout le long et qui ...
... rajoutait quelques millimètres à la circonférence. Toujours les yeux fermés, Maxime palpa le monstre, les testicules, visualisa l’ensemble puis ouvrit les yeux pour comparer. Il eut presque un mouvement de recul en découvrant son gland si près de son visage. Comme pour le taquiner, le bestiau lui expulsa droit dans les yeux une belle giclette de liquide préséminal. Une partie dévala la joue pour atteindre la commissure des lèvres. Le jeune homme ne put s’empêcher de gouter à ce liquide si familier et pourtant si mystérieux. Il ne trouva pas la saveur fameuse, mais la vue de ce gland, si proche… à portée de bouche… le poussa à essayer de le happer. Sa bite était maintenant suffisamment longue pour pouvoir pratiquer une auto-fellation, au prix d’une petite contorsion. Il écarta les jambes et attrapa ses chevilles pour porter le phallus au niveau de sa bouche. Cette position accentua la gêne créée par l’étroitesse du caleçon qui ne pouvait plus contenir ses énormes couilles. Maxime décida de l’ôter et se retrouva en tenue d’Adam. Il jeta son caleçon par terre comme la vieille serpillière dégoulinante de sperme qu’il était devenu et put reprendre son yoga onanique. Il allait enfin connaître la sensation de se faire sucer. « On n’est jamais mieux servi que par soi-même », songea-t-il avant de gober maladroitement son énorme gland qui l’obligea à ouvrir bien grand la mâchoire. Difficile de ne pas râper la peau avec les dents. En réaction à la sensation mitigée qui en résultait, il se ...