Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
Hétéro
... Ouuuuiiiiiiiiiiii… Tu me tues ! J’aime… Fais-moi mourir ! Défonce-moi à fond ! À ce moment-là je ne pus me retenir. Je n’attendais que cela, son orgasme, pour me lâcher. Je me maintins au fond de son côlon et je sentis ma semence sortir avec force par jets puissants. Moi aussi, je prenais mon pied comme je n’en avais pas pris depuis longtemps. — Vas-y, chéri ! Crache tout ! Donne-moi tout, mon amour… Après quelques minutes, Eva déplia ses genoux et s’allongea sur le ventre, moi sur elle, ma verge toujours profondément ancrée dans son rectum. Nous ne bougions plus. Mes mains étaient passées sous sa poitrine et tenaient ses seins sensuellement emprisonnés. Je déposais des baisers sur sa nuque, et elle paraissait ronronner comme une chatte repue. Je restai ainsi aussi longtemps que mon sexe me le permit, car lui aussi donnait signes de fatigue. Devenant flasque et bien lubrifié par sa propre semence, il sortit de ce rectum silencieusement comme il y était entré. Je me tournai sur le côté et m’aperçus que ma compagne s’était endormie, la tête posée sur son avant-bras gauche ; je me levai lentement sans la déranger pour aller faire une toilette sommaire dans la salle de bain. Un quart d’heure plus tard, à mon retour dans la chambre, Eva me reçut les yeux ouverts, m’invitant sous la couette avec un magnifique sourire : — Viens vite, mon étalon… Viens réchauffer ta pouliche qui déjà se languit de toi… Je grimpai dans le lit et rejoignis ma belle qui vint se blottir dans mes bras en ...
... se saisissant de ma verge dans sa main gauche. Elle me surprit en me disant dans le creux de l’oreille : — Merci, mon chéri… Merci pour ces instants explosifs. — Tu n’as pas à me remercier ; nous nous sommes fait plaisir mutuellement. — Oh, que si ! Merci, mon chéri. Je m’étais promis, lorsque je suis partie de Fuerteventura, de te donner ce que personne n’avait eu le droit d’avoir avant toi, le jour où j’aurais la joie de me blottir à nouveau dans tes bras. Nous nous sommes endormis, étroitement enlacés des bras comme des jambes. Des pensées un peu bizarres m’envahissaient ; j’avais la sensation qu’Eva était en train de me prendre pour une cruche. Elle m’avait dit que j’étais le premier à passer par la « petite porte » ; après ce que je venais de vivre, j’avais des difficultés à la croire. Non pas qu’elle soit habituée à s’envoyer en l’air par cette voie étroite ; ça, je ne le croyais pas, mais à mon avis, je trouvais que la rondelle s’était ouverte trop facilement à mon passage. Surtout que toutes mes conquêtes étaient d’accord – sans se connaître, bien sûr – pour estimer que la grosseur de mon sexe est assez conséquente, même si on ne peut pas le considérer comme long, avec ses 17 centimètres. Ce fut sur ces doutes et considérations que je me laissai emporter au pays de Morphée après m’être défoulé dans le jardin d’Aphrodite ! * * * Le lendemain matin je me réveillai dans un lit vide ; une odeur de café frais flottait dans la chambre. Comme si elle avait eu une caméra pour ...