1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)


    Datte: 18/01/2019, Catégories: Hétéro

    Enfin dans la Cité de Vauban ! Eva savait que je ne viendrais pas par une navette ; je l’avais mise au courant avant de décoller. Le temps lui durait de se blottir dans mes bras. Nos retrouvailles furent très fusionnelles. Aussitôt que j’eus passé la porte qui séparait le terminal du tarmac, Eva se précipita vers moi pour nouer ses bras autour de mon cou et plaquer ses lèvres sur les miennes pour un baiser langoureux. Heureusement, il n’y avait pas grand monde dans ce secteur normalement interdit au public ; Eva avait pu y accéder grâce à son badge de PN (Personnel Naviguant). Sa langue me fouillait la bouche avec passion, me câlinait la mienne dans une sarabande endiablée tandis que sa main passée derrière ma nuque me caressait les cheveux. Je sentais ses seins durs s’écraser contre mon torse tandis que son ventre paraissait vouloir se fondre au mien. À ce rythme-là, monentrejambe n’allait pas rester aussi immobile que durant tout le vol ! Eva me faisait savoir qu’elle avait attendu mon arrivée avec impatience. Ayant passé son bras sous le mien, elle me guida vers la sortie dans les méandres des couloirs de l’aéroport quimpérois. Elle était belle. Elle paraissait amoureuse. Pour moi, cela n’arrangeait pas mes affaires car cette femme me plaisait vraiment et il faudra, à l’issue de cette visite, que je prenne une décision importante : elle, ou Ingrid ? Il fallait que je réfléchisse avec ma tête et non pas avec ce que j’ai en dessous de la ceinture ! Mais il serait encore ...
    ... temps de le faire après ces courtes vacances. Pour le moment, elle était là. Nous étions tous les deux en train de nous embrasser et nos corps nous disaient que nous avions faim… faim l’un de l’autre. J’avais l’impression que notre « revoyure » ne serait pas de tout repos. Nous étions sortis de l’aérogare. Il bruinait. Normal : nous étions dans le Finistère, en Bretagne. Rapidement on se retrouva devant une Peugeot 607, qu’Eva déverrouilla avec sa télécommande. Plus vite qu’il ne le faut pour le dire, nous fûmes à l’intérieur. Elle prit place derrière le volant, et lorsqu’elle s’assit, elle remonta sa jupe, laissant entrevoir une cuisse dont le bas de soie brilla de mille feux. Était-ce pour le confort de conduite ou pour m’exciter ? Si c’était la deuxième éventualité, elle avait réussi ! Dans mon boxer, je sentis mon sexe donner signe de vie. Avant d’agrafer sa ceinture de sécurité, elle se tourna vers moi pour m’enlacer amoureusement. Ses lèvres virent se poser sur ma bouche et nos langues se retrouvèrent dans un baiser langoureux et sensuel. Sa main gauche quitta ma nuque pour se poser sur le haut de ma cuisse. Rapidement elle remonta jusqu’à se poser sur mon sexe qui, bien entendu, était en pleine érection. — Wouhaou !… C’est moi qui te fais déjà cet effet ? — Non… c’est la voiture ! lui répondis-je en riant. — Tu crois que tu tiendras jusqu’à la maison, ou préfères-tu que je te décompresse ? — Pour nous retrouver en garde à vue pour atteinte à la pudeur ? Non merci, Madame… ...
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