Atterrissage caliente à Fuerteventura (6)
Datte: 18/01/2019,
Catégories:
Hétéro
... L’eau coulait de la conque marine, tiède, recouvrant déjà mes jambes, atteignant mon bas-ventre, illuminée. Je fermai les yeux. Où me trouvais-je ? Dans la réalité, dans le nid de ma maîtresse d’un jour dont je venais de faire la connaissance quelques jours plus tôt ? Où étais-je en train de dormir, baigné par un rêve érotique au XIVème siècle ? Combien de temps restai-je les yeux fermés, bercé par cette douce ambiance et la douce musique que faisait l’eau en tombant en cascade? Je ne saurais le dire. Je fus ramené à la réalité par deux mains, douces, chaudes, sensuelles qui venaient de me caresser le visage : les mains d’Eva. Elle se tenait agenouillée devant moi, dans l’eau, avec un regard rempli d’amour et de promesses. Je n’avais d’yeux que pour ses seins que je trouvai toujours aussi admirables, aussi beaux, durs et invitant à les caresser, à sucer leur téton jusqu’à qu’elle demande grâce, qu’elle crie de plaisir. Je la pris par la taille et l’attirai vers moi. Nos bouches se rencontrèrent pour se transformer en un baiser torride, sensuel et tendre tout à la fois. Nos langues se trouvèrent rapidement et se firent l’amour… J’avalais avec délectation le cocktail de nossalives. Eva savourait, les yeux fermés. Je baissai moi aussi mes paupières et me laissai emporter par le miracle sensuel de l’instant pour ce pays qui nous ferait soupirer, accélérer nos battements de cœur pour finir dans un cri d’extase. Mes mains caressaient son dos en dessinant des figures, des arabesques ...
... qu’il me serait aujourd’hui impossible de reproduire, puis descendant qu’à la lisière de ses fesses où je sentais la naissance de cette raie qui partage ces deux demi-lunes, de chair ferme et si agréable au toucher. De son côté Eva, gardant ma nuque doucement emprisonnée dans l’une de ses mains, me caressait de l’autre la poitrine, s’attardant sur mes seins, essayant de faire durcir mes tétons en les faisant tourner entre la pulpe de ses doigts. Mon sexe était en pleine érection. Il aurait fallu que je sois un eunuque pour ne pas réagir à ces attouchements, aux caresses de ma partenaire qui, à ce moment-là, était la reine de l’érotisme. Ma main inquisitrice descendit le long de sa raie. Mon doigt, glissant en éclaireur, rencontra sa rondelle toute fripée. Nos bouches aussi s’écrasaient l’une contre l’autre et nos langues étaient prises dans un ballet endiablé. J’aimais de plus en plus nos jeux de langues, les suçotements, les mordillements : cela générait en nous une excitation, une augmentation de température de nos corps qui secrétaient nos fluides. Je sentis ma queue gonfler contre le ventre de mon amante. Elle me semblait grosse et dure ; alors je continuai à lui rouler une pelle bien profonde jusqu’à ce que, n’en tenant plus, ne pouvant plus résister à son envie, Eva finisse par tomber à genoux sur la dalle vitrée en cherchant de sa main sous l’eau ce sexe qui entre-temps avait monté et m’arrivait au nombril. Elle saisit ma verge dans sa main, tirant la peau vers le bas ...