1. Venezia


    Datte: 18/01/2019, Catégories: fh, hplusag, complexe, voyage, intermast, facial, Oral amourdura, amourpass,

    ... nuit enlacés. Le lendemain, pas de commentaires de la Signora Foscarini. Nous avons réussi à être plus discrets. Sur le Vaporetto, elle se blottit contre moi et me dit qu’elle a passé une merveilleuses soirée, mais elle me fait comprendre que ses règles approchent et qu’elle ne souhaite plus faire l’amour pendant un certain temps. Cela m’arrange car, à mon âge, j’ai besoin de reprendre des forces. Je ne peux plus assurer chaque jour comme à 20 ou 30 ans. Les nuits suivantes, nous nous contentons de dormir bien sagement blottis l’un contre l’autre. Pendant quelques jours, nos nous consacrons entièrement aux prises de vues à la Scuola. Je suis tellement content du résultat que je commence à penser à une publication de mes clichés avec comme texte, le sujet de sa thèse. Je lui en parle. Elle est folle de joie à cette idée mais redoute de devoir batailler pour convaincre son directeur de thèse. La question de la propriété des clichés va aussi se poser. Mais ne brûlons pas les étapes. Maintenant que tous les clichés ont été réalisés, elle a besoin de travailler seule à la rédaction des grandes lignes de sa thèse. La rédaction finale se fera à Paris. Ayant appris que les prises de vues sont terminées, Hasselblad lui demande de rapporter personnellement l’appareil au plus vite, surtout sans le confier à la Poste où à un transporteur. Comme je dois faire un aller et retour à Paris pour une séance de dédicaces, je lui propose de me charger de cette corvée, comme cela elle pourra se ...
    ... consacrer à sa rédaction et économiser sur son budget déjà très serré. Elle me remercie avec insistance et me promet une récompense à mon retour. Lorsque j’arrive du vol de Paris à l’aéroport Marco Polo, elle est la première dans la rangée de ceux qui attendent les passagers. Elle est allée chez le coiffeur, et a maintenant les cheveux courts, cela lui va très bien. Après un long baiser passionné, elle me dit qu’elle a consacré une partie du budget que je lui ai fait économiser à se rendre plus désirable, coiffeur, vêtements et sous-vêtements. J’ai hâte de découvrir cela. Lorsque nous passons à la Pensione pour déposer mon bagage avant d’aller dîner, elle retire son manteau et je découvre qu’elle a une jupe bien taillée et un chemisier en soie ample qui ne laisse deviner de sa silhouette que la tension qu’exercent ses seins sur l’étoffe. Que de promesses. Nous retournons à notre restaurant fétiche, Al Milion. Et là, elle m’annonce que son directeur de thèse, non seulement accepte ma proposition mais, qu’en plus, l’université serait très honorée de voir sur un même ouvrage la signature d’une de ses élèves et d’un photographe reconnu. Que de bonnes nouvelles pour ce retour. Je profite de ce moment de joie pour aborder un sujet qui me taraude depuis le début : — Puisque tu n’es pas contente de ton visage, tu n’as pas pensé à la chirurgie esthétique ?— Bien sûr que si ! J’ai même tous les renseignements. Je sais ce que je veux exactement et par quel chirurgien.— Et alors ?— C’est ...
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