Severin est « out-sourcé »
Datte: 19/01/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
profélève,
école,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
soubrette,
humilié(e),
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
chaussures,
fouetfesse,
conte,
initiatiq,
f+prof,
bourge,
sm,
Résumé des épisodes précédents : Severin, amateur de livres osés, voit sa passion croiser son nouveau travail et sa nouvelle patronne. Ses rêves littéraires se voient donner vie dans cet institut de formation, où il croise élève dissipée, secrétaire moqueuse et directrice abusive. Après avoir dû discipliner une élève, il assiste à l’interrogatoire d’un élève contrit puis doit affronter sa directrice. Severin est à l’institut depuis plusieurs semaines maintenant. Les cours vont bien, même s’il est un peu déçu de ne presque jamais voir madame Barnier. Il ne fait que la croiser parfois dans les couloirs, occasions qui ne servent qu’à lui rappeler combien cette femme est élégante, racée même. Mais elle semble l’avoir oublié. Lui pas. Malgré sa timidité qui l’empêche d’essayer de provoquer une nouvelle entrevue, Severin ne cesse de voir et revoir sa directrice, la nuit, dans ses rêves éveillés. C’est pourquoi il est particulièrement nerveux et excité lorsque Solange, la secrétaire, lui apprend que madame Barnier le convoque dans son bureau. Il pénètre dans cette pièce, trop nerveux pour prêter attention au sourire narquois de la secrétaire. Sa patronne est assise à son bureau. Severin s’est sermonné, mais il ne peut empêcher son regard de courir le long du corps de la dame, la tête penchée sur des papiers. Pourquoi faut-il que ce tailleur pourtant classique et même strict sur le corps de cette femme lui mette le feu aux sens ? Mais cela n’est rien comparé au choc qu’il reçoit ...
... en découvrant une badine sur le bureau de madame Barnier, là, à portée de main ! — Votre examen est terminé ? Elle a parlé sans lever les yeux et Severin se mord les lèvres. Elle l’a encore pris en défaut. Elle lève les yeux, légèrement fardés, sévères : — Votre attitude est décidément intolérable. J’ai eu à régler le cas de madame Mory longuement avec elle. Je vous ai observé et sous vos airs innocents, votre esprit n’est pas moins dévergondé que celui de cette élève.— Mais…— Taisez-vous ! Je ne tolérerai pas chez un de mes professeurs ce que je ne tolère pas chez une élève. Sa voix est calme, posée, mais son regard fait couler une douce chaleur le long de l’échine de Severin. Chaleur qui devient incendie lorsqu’elle recule son siège et dégage ses jambes qu’elle croise lentement, sans cesser de le regarder. Ce regard l’empêche de baisser les yeux sur ces jambes, malgré le léger crissement des bas (il sait maintenant que ce ne sont pas d’innocents collants), malgré le bout de dentelles entrevu qui s’échappe de la jupe. — Que portez-vous sous votre pantalon, mon garçon, slip ou caleçon ? Severin est suffoqué, mais il ne peut esquisser un seul geste. Il reste planté là, hébété. La situation lui échappe déjà. — Alors ? Vous répondez ? Après tout, vous vous intéressez à mes dessous, je puis bien être curieuse des vôtres. Ne faites pas cette tête-là, il faudrait vous apprendre, entre autres choses, à regarder une femme.— Un caleçon, madame. Un sourire plisse les lèvres de madame ...