1. Severin est « out-sourcé »


    Datte: 19/01/2019, Catégories: fh, fplusag, profélève, école, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, soubrette, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme chaussures, fouetfesse, conte, initiatiq, f+prof, bourge, sm,

    ... Barnier, satisfaite de voir cette émotion chez le jeune mâle. Elle dégage davantage ses jambes, les croise plus haut et tire sa jupe sur son genou levé. Cette fois-ci, l’image de ces jambes, de ces cuisses voilées de soie noire imprègne parfaitement la rétine de Severin. — Hum… j’aime assez les garçons en caleçon. Mais sa voix se durcit à nouveau. — Je sais ce que vous ressentez en ce moment, devant moi, mon petit. Peut-être mieux que vous. Et je compte bien en abuser. Retirez votre veste et accrochez-la. Restez contre le mur. Elle saisit la badine, éprouvant sa souplesse à petits coups contre ses chevilles. — Vous savez comme moi ce qui va arriver maintenant, n’est-ce pas ? Alors baissez-vous ! Vous viendrez à quatre pattes jusqu’ici. Votre façon de regarder mes jambes mérite correction et j’ai une furieuse envie de vous cingler dix fois les fesses. Sa voix a pris un ton sec, cassant. Severin essaye de se montrer révolté par les invraisemblables paroles de sa directrice, mais la chaleur qui lui ronge le ventre, et la fermeté de cette femme le laissent sans force. Il essaie d’éviter le regard qui lui aspire littéralement la volonté, mais ce n’est que pour revenir sur les jambes, ces jambes… Il sent malgré lui son sexe durcir et à nouveau, ce besoin sourd et impérieux. Les images de ces femmes séductrices et autoritaires, dans les livres qu’il aime tant, l’envahissent. — Baissez-moi ce pantalon, pas le caleçon, c’est moi qui m’en occuperait lorsque vous serez à mes pieds. À ...
    ... genoux, monsieur le Professeur, et venez lentement vers moi, en levant bien votre tête pour me regarder dans les yeux. La tête bourdonnante et les jambes en coton, Severin déboutonne son pantalon, le laisse glisser le long de ses jambes, s’agenouille et commence sa lente traversée de la pièce. Il ne sait plus ce qu’il fait, il essaie bien de masquer son émoi, trop visible et trop humiliant dans cette situation, mais il ne voit que cette femme, ce regard brillant, vainqueur, et ces jambes si haut croisées, tellement désirées. Il se sent désemparé par sa si rapide capitulation, mais cette femme a su réveiller trop de fantasmes qu’il croyait maîtriser. Il voudrait aller vite et abréger cette humiliante traversée, mais la vision de la dame le saoule… jusqu’à cet escarpin au talon fin qu’elle lui tend au bord des lèvres. Il voudrait l’embrasser, remonter avec ses lèvres le long de la jambe… — Viens mon petit, viens que je te déculotte, que je voie ce derrière que je vais corriger. Severin sent ses mains, ses ongles sur son ventre, fouiller, déboutonner lentement le caleçon, puis le faire glisser sur ses hanches, sur ses cuisses. Il a fermé les yeux, mais pas une fois madame Barnier n’a touché son sexe. Elle défait un peu la chemise et la roule sur ses reins. L’air frais sur ses fesses réveille Severin, mais lorsqu’il ouvre les yeux, il se voit pantalon et caleçon aux chevilles, à quatre pattes, la tête prise entre les genoux de sa directrice. Et la verge dure, exposée et ignorée. ...
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