Le voyage de noce de papier africain
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
jeunes,
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extracon,
grossexe,
bain,
voyage,
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jalousie,
cérébral,
noculotte,
Oral
confession,
occasion,
extraconj,
nature,
... si un sexe d’homme est mieux, j’en avais tant envie ! Je reste les yeux fermés de honte, mimant la somnolence, jusqu’à notre arrivée nocturne, qui me permet de masquer mon short déchiré. Nouveau départ le lendemain matin, après une nuit où Tim, rentré fortement alcoolisé, m’a à nouveau fait le coup duun tout petit tour et puis s’en va. Je me lasse de ces départs plus que matinaux, de ces heures passées sur des pistes cahotantes, de ces marches situées trop loin de la chasse pour être intéressantes. Si, au moins, la piscine avait été en état, j’aurais pu bouquiner un bon livre en soignant mon bronzage. Tim, toujours aussi absorbé par ses proies, récolte cette journée-là deux grosses antilopes au nom barbare. Sur le retour, nous traversons le lit abrupt d’une rivière asséchée. Le camion qui nous suit casse une pièce de la roue et est immobilisé. Après de grandes discussions, Dino décide d’envoyer ses deux chauffeurs chercher la rechange au lodge avec Tim et les deux pisteurs, et de rester avec les trois boys et moi à les attendre. Heureusement, j’ai un livre avec moi, que je dévore pendant que mes gardiens vont chasser alentour. Je profite de leur éloignement pour faire un peu de topless, assise dans la cabine du camion sans toit. Le soleil est déjà bas quand les hommes reviennent. Dino, de fort méchante humeur, m’explique que la pièce ne pourra être apportée que le lendemain matin, et que nous allons devoir bivouaquer sur place. Les boys montent une petite tente deux places, ...
... un peu à l’écart, dans laquelle je vais dormir, Dino s’installant dans la cabine ouverte et les boys à l’arrière du camion. Je n’ai ni miroir, ni affaires de toilette ! La chaleur humide est de plus en plus étouffante malgré le crépuscule proche et nous mangeons en silence un en-cas froid sans saveur. En rejoignant ma tente, j’entends au loin l’orage tonner. Je ne suis guère rassurée car j’ai l’impression que la foudre se rapproche en s’intensifiant. D’un seul coup, des trombes d’eau se déversent sur la toile de la tente, et Dino s’y précipite pour s’y mettre à l’abri, les boys se réfugiant sous le camion. J’ai à plusieurs reprises l’impression que la foudre tombe à quelques mètres de nous, et mes cheveux se dressent du fait de l’électricité ambiante. Le déluge dure un bon quart d’heure, puis les éléments se calment. Je ne dors pas, et j’ai l’impression que Dino, allongé sur le dos, à une vingtaine de centimètres de moi, ne dort pas non plus. L’ambiance est étrange et lourde. C’est alors que, malgré moi, je fais un geste inouï : soulevant la main droite, je la pose, au hasard, sous le nombril de l’homme. Il frémit, ne dit rien. Je sens une jungle de poils sous mes doigts qui, sans même que mon cerveau en ait vraiment conscience, descendent vers le bas, glisse sous l’élastique d’un caleçon et butent sur un objet de taille respectable. Ils l’entourent et le sentent se redresser violemment. Brutalement Dino se relève et gronde : — Tu l’auras bien cherché, petite salope blanche ! ...