1. Le voyage de noce de papier africain


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, couleurs, extracon, grossexe, bain, voyage, fsoumise, jalousie, cérébral, noculotte, Oral confession, occasion, extraconj, nature,

    ... Il se rue sur moi, m’arrache mes vêtements, plonge sa main dans mon ventre en me mordant les seins. Étrangement, la violence de l’attaque me grise, et je m’ouvre docilement à lui. Il guide son sexe en moi, me saisit par les hanches, me secouant d’avant en arrière sans aucun ménagement. Une digue se rompt en moi, je crie fort mon plaisir, l’onde s’en déverse sur lui. Il ressort de moi, me tourne comme un crêpe, me relève les hanches, la tête entre les bras, s’agenouille derrière moi, me pourfend à nouveau. Ma tête, sous ses coups, bute contre la tente, ses doigts, comme des serres, pénètrent dans mes hanches. Il va de plus en plus profond contre mon utérus. Son souffle s’accélère, ses ruades s’espacent tout en s’intensifiant, sa semence jaillit en impétueux torrent qui m’entraîne avec lui. Nous retombons tous deux, encastrés l’un dans l’autre, soufflant, suant, sifflant. Enfin, je me sens femme, enfin, je me sens bien. Et par trois fois encore, en cette nuit orgiaque, il se vide dans ma bouche, dans mon cul, dans ma chatte. En me réveillant le lendemain matin, j’ai longtemps regardé les étranges tatouages qui couvraient son torse, ses épaules et ses bras. Lorsqu’il s’est levé pour s’habiller, j’ai voulu en faire autant. Il m’a repoussée sans ménagement en empoignant mes string et soutienpour sa salle des trophées ! Mes seins, mes cuisses, mon ventre sont couverts de traces de débauche, j’ai les reins en compote et je dois enfiler short et corsage sur d’innombrables traces ...
    ... blanchâtres, restes de sa virilité. En sortant de la tente, un des boys fait une réflexion qui fait éclater de rire Dino et les autres. Perfide, il me la traduit : — Il a dit que l’orage a été plus intense dans la tente que dehors ! Je m’en veux d’avoir ainsi honteusement cédé à mon meilleur ennemi. Je boude dans mon coin jusqu’à ce que les chauffeurs ramènent la fameuse pièce… Une fois celle-ci montée, nous rejoignons le camp. J’ai honte, j’ai l’impression qu’ils devinent tous que je suis nue dessous. À peine arrivés, ils repartent retrouver Tim et les autres ; je reste au bungalow pour une toilette complète. Dans l’après-midi, je pars en promenade aux alentours du camp. La pluie de la veille a rendu la terre humide, et cette odeur me plaît. Aux détours d’un bosquet, j’entends des cris, et je m’approche. Je découvre une rivière, et vois, dans un méandre, une dizaine de jeunes filles dans l’eau. Certaines sont intégralement nues et s’arrosent, d’autres lavent des tissus colorés. Enfin, il y a, aussi, des filles ici ! L’une d’elles vient vers moi, je reconnais Soula, la petite du ménage. Un grand sourire éclaire son visage, elle me propose, dans son anglais toujours aussi succinct, de rejoindre ses copines. Certaines ont enduit leur corps de boue et se prélassent au soleil. Lorsqu’elles sont bien sèches, elles se frottent avec l’eau : soins corporels rustiques, qui m’amusent beaucoup. Soula me propose de me baigner, j’hésite, je n’ai pas de maillot, et le corps marqué par ma nuit ...
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