1. Le voyage de noce de papier africain


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, couleurs, extracon, grossexe, bain, voyage, fsoumise, jalousie, cérébral, noculotte, Oral confession, occasion, extraconj, nature,

    ... coiffer, je ne peux refuser. Nue, je m’accroupis avec de l’eau jusqu’aux genoux, elles défont mon chignon et chacune d’entre elle me prend une mèche pour la tresser. Je n’avais jamais eu une douzaine de coiffeuses pour s’occuper de moi ! Lorsqu’elles ont fini, elles me tendent un morceau de miroir : me voilà style rasta… C’est alors que je remarque qu’un homme, assis sur l’autre rive, nous regarde. Je m’enfonce dans l’eau pour cacher ma nudité. Sa posture est sans équivoque : assis, il a remonté sa djellaba sur ses cuisses, et ses bourses, impressionnantes, pendent très bas. Son sexe, d’une longueur incroyable, lui arrive presqu’au genou, et il a de temps un temps un geste de la main sans équivoque le long de son engin. Soula perçoit mon angoisse et veut me rassurer : il s’agit de Moussa ! Je suis encore plus gênée. Elle m’explique qu’il est là pour choisir une fille à laquelle il apprendraà se servir de son bâton. Il n’est pas de la tribu, il est très grand et vient du Nord, mais il a plein de pouvoirs. N’est-ce pas grâce à lui que je n’ai plus de marques sur la gorge ? Les filles ont du mal à comprendre pourquoi j’ai arrêté nos jeux aquatiques en m’immergeant ainsi. Au bout d’un très long moment, notre mateur se lève, remonte la rive jusqu’à un gué, traverse la rivière et vient vers nous. Autour de moi, ça piaille comme dans un nid de perruches. Une baguette à la main, il s’arrête au bord de l’eau et nous regarde. Il me fixe intensément, je me tasse et détourne le regard. ...
    ... Son sexe tend la djellaba devant lui. Puis, d’un geste théâtral, il effleure avec sa badine l’épaule d’une jeune fille aux seins particulièrement pointus et s’en va. L’élue saute sur la rive, enfile son boubou et suit l’homme. Cette scène me laisse la gorge sèche. Rapidement, les rires, les chants et les jeux reprennent, et je finis par retrouver ma sérénité. La journée s’achève dans le calme. Pour la première fois, je dors seule. Les bruits d’animaux autour du bungalow sont plus stridents que jamais et je réalise combien la présence de Tim à mes côtés était rassurante. L’incursion de Moussa au bord de la rivière repasse comme un film à plusieurs reprises devant mes yeux. Je finis par m’endormir et fais d’étranges rêves, où je suis une esclave vendue sur un marché. Je me réveille particulièrement tard et peine à trouver le boy qui me fait le café. J’entame un nouveau bouquin, un roman à l’eau de rose, mais ai du mal à adhérer à l’histoire. Soula vient faire le ménage. Nous papotons un long moment dans notre charabia. Elle me quitte en me disant qu’elle m’attend au bord de l’eau. Après un frugal déjeuner, je sens l’appel de la rivière, et décide de retourner voir mes copines. J’enfile une jupe et un t-shirt et emmène un pot de vernis à ongle. Les filles m’accueillent avec enthousiasme, je suis soulagée, personne sur l’autre rive. Je me dénude, et ai le droit à plusieurs séances de massage de boue. Les mains qui courent sur mon corps sont plus énergiques que sensuelles, mais ...
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