Le voyage de noce de papier africain
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
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... j’en sors revigorée. Ensuite, je prends les mains de Soula et lui fais les ongles avec mon vernis. Toutes les filles sont penchées sur nous, leurs seins me frôlent partout, j’ai du mal à opérer correctement. Lorsque j’ai fini, elles réclament toutes leur tour. Je leur prête le flacon, elles sont très maladroites, en mettent beaucoup trop, même sur leurs doigts. C’est alors que je sens son regard… Au même endroit que la veille, dans la même position, il nous observe. J’ai l’impression que ses énormes bourses se balancent encore plus bas, et qu’il m’observe en particulier. Cette fois, je reste debout, de l’eau jusqu’aux genoux. À côté de moi, les filles continuent à piailler, le flacon est vide, certaines se sont peint un ongle ou deux seulement. Ravies, elles agitent leurs doigts dans tous les sens. Soula s’est rendu compte de mon trouble exhibitionniste et, passant la main sur mon épaule, me dit : — C’est bien quand un homme te regarde. Sa remarque m’arrache un sourire, et les filles se rengorgent car Moussa a entrepris sa traversée de la rivière, toujours aussi théâtrale. Il s’approche et me fixe. Puis ses yeux me détaillent sous toutes les coutures, il lève avec solennité un bras et, me touche l’épaule du bout de sa badine. Les filles en chœur crient : — Carole, Carole, Carole ! Il se retourne et, sûr de son fait, s’éloigne. J’hésite quelques secondes, puis gagne le bord, me glisse dans ma jupe, enfile mon t-shirt, abandonnant mes dessous aux filles, et lui emboîte le pas. ...
... Il ne vérifie même pas que je suis derrière lui. Nous faisons un vaste détour pour éviter le centre du village et il ne se retourne que sur le pas de la porte de sa case, isolée du village et de forme carrée alors que les autres sont rondes. Il s’esquive et j’y pénètre. Il y fait assez sombre, il rabat le rideau qui sert de porte d’entrée. Une couche et un tapis de prière recouvrent le sol, un des murs est encombré d’étagères garnies d’une multitude de boîtes en fer, de bocaux, de pots de yaourts similaires à celui avec lequel il m’avait soignée. La température, presque fraîche, contraste avec l’extérieur. Debout, nous nous faisons face. Il doit mesurer près de deux mètres dix comme les joueurs de basket américains. Nos regards sont vrillés l’un dans l’autre. D’un geste de la main, il me fait signe de me dévêtir. Prenant à mon compte la théâtralité de ses gestes, je fais glisser avec lenteur mon t-shirt sur ma tête. Il s’emmêle un peu dans mes dreadlocks. Je sens mes seins durcir et mes tétons pointer sous son regard. J’essaie de maîtriser mon souffle. D’un nouveau geste, il me fait signe de continuer. Ma jupe descend sur mes cuisses, tombe sur le sol. Je l’enjambe. Il est toujours à un mètre de moi, et je sens chaque détail de mon corps scruté sans complaisance. Il se retourne, et saisit sur l’étagère une boîte de conserve rouillée. Il y plonge ses doigts et en extrait une crème jaunâtre dégageant une forte odeur, comme de poisson fumé. Il avance la main vers ma féminité. La ...